Après des jours de réflexion, le prince William a publié une déclaration sur le conflit entre Israël et le Hamas dans laquelle il appelle à une trêve des hostilités. Après 70 ans de règne d’Elizabeth, qui s’est abstenue de toute intervention diplomatique directe, les Britanniques sont divisés. Il y a déjà ceux qui définissent William comme un nouveau Winston Churchill, capable d’inspirer bien plus les Britanniques que son père Charles. D’autres, comme le politicien pro-Brexit Nigel Farage, se sont moqués de lui : « Mieux vaut que le prince se contente de remettre les prix Bafta ».

On parle beaucoup aujourd’hui de mesures de soutien à la famille : « la famille traditionnelle, père, mère et enfants, éventuellement trois, conçus naturellement. Mais la réalité est différente, et elle est différente de ce que la politique veut affirmer », explique Filomena Gallo, une avocate qui se bat depuis des années pour soutenir les couples qui souhaitent devenir parents avec PMA. «Par exemple, parce que la fécondité n’attend pas que les conditions soient réunies, notamment économiques, pour fonder une famille. Mais aussi parce qu’il existe de nombreuses familles, de différents types : dans le paysage de la parentalité en Italie, il y a des célibataires, des couples hétérosexuels et des couples de même sexe. » C’est comme ça, c’est déjà comme ça. Grâce à son travail devant les tribunaux et contre les interdictions imposées par la loi 40, Gallo contribue à la naissance d’environ 14 000 enfants par an. Il fait aujourd’hui le point sur les droits fondamentaux des couples, les interdits qui ont été abolis et ceux à abolir