L’explication résiderait dans le modèle de dilution des ressources : les frères et sœurs se disputent le temps, l’énergie et les ressources financières des parents et donc moins il y en a, mieux c’est. Dans une Italie où la natalité est record, donner naissance à un enfant est, en ce sens, un défi. Pourtant, une fois le premier né au monde, de nombreux couples se demandent : leur donner ou non un frère ou une sœur ? Certains rêvaient d’une famille nombreuse et n’en doutent pas, d’autres changent d’avis. D’autres encore choisissent de recommencer "ne pars pas seul" le premier enfant. Ou encore parce qu’après le mâle ils veulent une femelle, ou vice versa. Entre pression sociale et questions déplacées ("quand est-ce que tu fais le deuxième ?") et la conscience de l’effort économique et logistique nécessaire pour élever plus d’un enfant, la question reste ouverte pour de nombreuses familles. Entre le syndrome dit de l’enfant unique, selon lequel il serait gâté, égoïste et solitaire, et le cliché de la rivalité fraternelle, essayons d’examiner les avantages et les inconvénients des différents choix.

De la dénonciation des violences masculines, reconnues comme violation des droits de l’homme par la Convention d’Istanbul, à la protection de ceux qui trouvent le courage de dénoncer, prévue par le Code rouge. Du droit de choisir de poursuivre une grossesse ou d’avorter, garanti par la loi 194, à l’égalité salariale inscrite dans la Constitution. Si une campagne sociale sur les droits des femmes est nécessaire, malgré l’existence de lois ad hoc, cela signifie que ces lois ne sont pas pleinement respectées. Que dans la société les femmes doivent encore faire face à des situations dans lesquelles leur parole est remise en question, dans lesquelles elles doivent se battre pour être protégées, dans lesquelles elles ne sont pas libres

La première photo sociale de trois