Pas encore de décision sur l’accord agricole, LTO veut un « ajustement significatif »

L’accord agricole est en suspens pour le moment. Il n’y a probablement même pas de texte final d’un accord de négociation cette semaine.

LTO, un parti important que le cabinet doit maintenir à la table, rejette le projet de texte tel qu’il est actuellement. Selon l’organisation de pression des agriculteurs, « un ajustement significatif » est nécessaire. LTO voulait en fait avoir une réponse définitive le mois dernier, mais cette clarté souhaitée n’est donc pas au rendez-vous.

Au cours de ce mois, les organisations discuteront de l’accord qui devrait offrir aux agriculteurs des perspectives d’avenir.

Selon LTO, les nœuds doivent vraiment être faits le 17 mai, au prochain moment des négociations. Un tel accord est ensuite présenté aux circonscriptions concernées. Le ministère de l’Agriculture espère également pouvoir clarifier l’accord le 17 mai.

L’organisation écrit dans un communiqué que le texte actuel offre une perspective insuffisante. « La critique du concept a été plus largement partagée par divers participants à la table », a déclaré LTO. Une « dernière tentative » est donc faite pour apporter des « améliorations significatives » au texte.

L’accord agricole gronde depuis un certain temps. Selon l’ANP, il s’agit principalement d’accords sur les terres, la politique du fumier et la capacité de gain des agriculteurs.

Pour ce dernier thème, les entreprises de la chaîne, y compris les supermarchés et les transporteurs de bétail, doivent contribuer, selon le cabinet, entre autres. LTO mentionne également la légalisation des détecteurs PAS comme un point important. Dans le cadre de l’ancienne politique de l’azote, ils n’avaient pas besoin d’autorisation pour (l’expansion de) leur entreprise, mais sont soumis à une obligation d’autorisation suite à un arrêt du Conseil d’État en 2019.



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