Utiliser des toilettes publiques pour femmes est un véritable cauchemar. Il y a une peur de contracter des infections. Mais y a-t-il vraiment un danger ? Nous avons demandé au Dr Manuela Farris, gynécologue


LE les toilettes publiques pour la majorité des femmes représentent un vrai cauchemarde sorte que presque toutes ils les utilisent seulement si strictement nécessaire. Surtout pendant la période. Mais est-ce que l’utilisation des toilettes lorsque vous n’êtes pas chez vous est vraiment si risquée ? Nous avons demandé au gynécologue.

Les femmes et les toilettes publiques

Selon une enquête menée par initialen parlant d’hygiène, 7 femmes sur 10 ils déclarent à ne pas se sentir en sécurité dans les toilettes publiques. Bien 81% des participants à l’enquête ont peur de toucher les surfaces lorsqu’ils 1 femme sur 5 préfère ne les utilisez pas du tout, même si vous en ressentez le besoin. Et la situation est encore pire les jours du cycle, au cours desquels, qpresque toutes des interviewés ne se sent pas à l’aise lors de l’utilisation des toilettes publiques. Parmi ceux-ci, le 69% il ne s’en sert que parce qu’il le faut et avec une forte dose de courage.

Tasse : une alternative

Pendant le cycle, lorsque vous n’êtes pas chez vous, si le besoin d’aller aux toilettes est étroitement lié à changement d’absorbant, une alternative possible est l’utilisation de la coupe menstruelle. « Ce sont des dieux petits récipients en forme de clochequi s’insèrent dans le canal vaginal et qui servent à recueillir le sang et qui réservent une série de avantages. De nombreuses études scientifiques, ainsi qu’une enquête intimideront montré que ils ne créent pas de réactions allergiques et n’augmentent pas le risque d’infections. Aussi, il y a un moins besoin de changer. En effet, une coupe menstruelle peut être retirée après 8 heures. C’est une alternative valable aux serviettes hygiéniques, même pour les femmes aux flux abondants, habituées à devoir se changer au moins 4 à 5 fois par jour» explique le Docteur Manuela Farrisgynécologue et conseiller du Société italienne de contraception.

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Toilettes publiques : quel est le vrai danger ?

« La plupart de bactéries sexuellement transmissibles je suis très labile au contact de l’air il leur est donc difficile, voire presque impossible, de survivre. Le seul risque hypothétique, plutôt qu’une infection par des virus ou des bactéries, est celui de contracter un champignonun mycose cutanée qui se répand aussi par contact. C’est pourquoi il est très important de bien se laver les mains après avoir utilisé les toilettes publiques. Bien que les femmes aient très peur d’utiliser les toilettes à l’extérieur de la maison, les endroits avec un plus grand risque ce sont eux qui sont mouillés, comme saunas et hammams. L’infection de virus du papillome sur le col de l’utérus ne se contracte qu’avec des rapports sexuels, mais l’infection au VPH dans la vulve et la peau du pénis peut être transmise milieux humides. Il convient toutefois de souligner qu’elles font partie des 9 souches couvertes par la Vaccin contre le VPH», poursuit l’expert.

Attention aux cystites

«Il est donc clair que des infections importantes, telles que maladies sexuellement transmissibles, ils ne contractent pas utilisant un toilette publique. A l’inverse, la peur d’utiliser des toilettes à l’extérieur de la maison conduit à tenir le pipi. Cela augmente la concentration urinaire et le poids moléculaire de l’urine et donc aussi la risque de cystite. Heureusement, cependant, dans ces cas, il passe simplement boire beaucoup d’eau et pas de médicaments» conclut le Dr Farris.

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