Une rage de collection extrême transforme un bien locatif en décharge : « J’ai fait confiance à ces gens »


Une rage de collection extrême transforme un bien locatif en décharge : « J’ai fait confiance à ces gens »

La vaisselle s’empile, les vêtements traînent un peu partout dans la maison, les cartons et les détritus bloquent presque l’entrée. Et n’oubliez pas les matières fécales sur le sol. Ce n’est pas un spectacle.

Le propriétaire Joost est perdu alors qu’il se fraye un chemin à travers la saleté. « Vous voyez des traces de chiens : des égratignures sur les vitres. Cependant, le contrat de location stipule qu’ils n’étaient pas autorisés à garder des animaux. »

Impayé

Les locataires n’avaient pas payé depuis sept mois. Après toute une procédure, ils ont été expulsés cette semaine. L’huissier a déjà emporté les objets les plus précieux avec lui, mais Joost se retrouve avec le désordre extrême.

« C’est une violation de ma confiance en ces personnes », déclare Joost. « Je ne reçois d’aide nulle part. J’ai supplié le CPAS, mais je ne reçois aucune aide là-bas non plus », dit-il avec émotion.

justice de paix

Le propriétaire espère que les services de la ville enverront un autre conteneur pour emporter les ordures. Mais selon le groupe d’intérêt pour les propriétaires immobiliers, United Owners, la ville n’est pas obligée de le faire.

La seule chose que Joost peut faire est de demander au juge de paix qu’un expert vienne faire ses constatations, mais c’est aussi à ses frais.



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