Une semaine sans viande. Pour expérimenter ce que c’est. Et dire qu’il est possible de se passer d’une agriculture intensive. Tant du point de vue de la restructuration du secteur agroalimentaire. Tant de celui d’une restructuration de notre alimentation. Si la semaine dernière une coalition d’associations a présenté le texte de loi Au-delà de l’élevage intensif, pour une transition écologique de notre filière élevage, aujourd’hui démarre la Semaine sans viande, annoncée par le WWF. Une invitation à faire un petit pas (et un délicieux repas) chaque jour pour protéger notre santé et celle de la Planète.

En 6 mois, 7 sont morts. Un taux de mortalité, selon le WWF, trop élevé pour être entièrement imputable aux dynamiques naturelles. On soupçonne qu’il y a de graves responsabilités. «Le climat d’impunité lié à la « couverture politique » que certaines forces politiques garantissent aux chasseurs/braconniers, l’absence de mesures coercitives et l’incertitude réglementaire aboutissent à une situation totalement incontrôlable». Ce qu’il faut faire? L’organisation environnementale a proposé une feuille de route

Entre yoga, dégustations et ateliers pour enfants. Du 22 avril au 21 mai, de nombreuses occasions de découvrir les lieux qui, depuis plus de 50 ans, sont au centre du plus grand projet de conservation du WWF. De l’oasis historique du lac de Burano en Toscane au majestueux Gole del Sagittario dans les Abruzzes, de l’oasis Miramare à Trieste aux prairies alpines de Valtrigona dans le Trentin, de l’oasis salentine de Le Cesine à la côte vierge et sauvage de Torre Salsa en Sicile