Trois coups de cran d’arrêt : c’est ainsi qu’un garçon de 17 ans a frappé trois fois son professeur dans le dos. Cela s’est produit ce matin, à Varèse, alors que le projet de loi sur cette question est examiné au Sénat. Il s’agit d’un épisode parmi tant d’autres d’une violence généralisée : des agressions et des réactions excessives aux prétendus torts subis se produisent dans les écoles comme aux urgences des hôpitaux. Qu’arrive-t-il à notre société ? Le sociologue Maurizio Fiasco l’explique

Daniela Ranieri, l’une des meilleures écrivaines et journalistes italiennes, a écrit un article important dans Il Fatto. Il raconte tous les petits torts qu’il a subis dans sa vie. Et certaines de ces injustices sont des formes de violence, même si la loi et la société ne les reconnaissent pas comme telles et ne les punissent pas ou ne les préviennent pas.