Les 65% de jeunes qui déclarent avoir été victimes de violences représentent un pourcentage énorme. Mais il monte à 70 % si l’on considère les réponses des filles et à 83 % parmi celles qui se définissent comme non binaires. Il tombe à 56 % chez les hommes. Le web est perçu comme le lieu où l’on est le plus susceptible d’être victime (39% des réponses), notamment pour les filles, mais seulement après l’école (66%). Ce sont les données de l’Observatoire Indifesa de Terre des Hommes publiées à l’occasion de la Journée pour un Internet plus sûr (6 février).