«Peut-être que l’erreur que nous faisons est de penser qu’il doit y avoir une dépression pour conduire au suicide, mais ce n’est pas toujours le cas. Ce n’était pas le cas de Giulia. La veille au soir, il plaisantait, il venait d’acheter une nouvelle tenue d’escalade, qui était restée là avec l’étiquette. Giulia était une sportive, elle aimait le cinéma, la lecture, c’était une fille normale, elle avait des amis. » C’est ainsi que Rocchina raconte son témoignage de survivante d’iO Donna. Maurizio Pompili, professeur ordinaire de psychiatrie à l’Université Sapienza de Rome, nous aide également à comprendre.

L’accès à Telefono Donna se développe

«J’ai le sentiment d’avoir dit tout ce que j’avais à dire, d’être allé à l’extrême. Maintenant, je veux essayer quelque chose de différent, qui ne m’éloigne pas de ma famille et de ma fille. » Voici la révélation que l’acteur fait à iO Donna, sans cacher une certaine responsabilité des internautes…

La nouvelle édition du campus organisé par Corriere della Sera, La 27 esima Ora, iO Donna, Le Contemporanee se tiendra les 7 et 8 mars à l’Université La Sapienza de Rome, avec des ateliers, des enquêtes en direct et des spectacles. L’événement est gratuit mais vous devez vous inscrire ici

«Je ne suis pas faite pour les films d’action» révèle l’actrice à iO donna. Les seules explosions avec lesquelles l’actrice voulait se mesurer étaient celles de l’âme. Comme cela arrive au protagoniste de son dernier film : une femme au foyer très, très imparfaite, inspirée d’une histoire vraie qui a fait débat