J’ai écrit mes livres pour mon fils, afin qu’il ne se sente pas bloqué par les mêmes étiquettes qui définissent un "vrai homme". Et je les ai écrits aussi pour ma fille, pour qu’elle n’ait pas à grandir dans un monde qui n’est pas sûr pour elle.

Après des jours de réflexion, le prince William a publié une déclaration sur le conflit entre Israël et le Hamas dans laquelle il appelle à une trêve des hostilités. Après 70 ans de règne d’Elizabeth, qui s’est abstenue de toute intervention diplomatique directe, les Britanniques sont divisés. Il y a déjà ceux qui définissent William comme un nouveau Winston Churchill, capable d’inspirer bien plus les Britanniques que son père Charles. D’autres, comme le politicien pro-Brexit Nigel Farage, se sont moqués de lui : “Mieux vaut que le prince se contente de remettre les prix Bafta”.

Les 65% de jeunes qui déclarent avoir été victimes de violences représentent un pourcentage énorme. Mais il monte à 70 % si l’on considère les réponses des filles et à 83 % parmi celles qui se définissent comme non binaires. Il tombe à 56 % chez les hommes. Le web est perçu comme le lieu où l’on est le plus susceptible d’être victime (39% des réponses), notamment pour les filles, mais seulement après l’école (66%). Ce sont les données de l’Observatoire Indifesa de Terre des Hommes publiées à l’occasion de la Journée pour un Internet plus sûr (6 février).