Superbonus, aujourd’hui dans CDM l’économiseur de dépenses. Mais l’intervention devient sélective


Le Sal extraordinaire il pourrait devenir sélectif ou vestimentaire, pour mieux définir encore le travail de classement qui s’est déroulé tout au long de la journée d’hier. Dans l’éternelle histoire du superbonus, c’est la nouvelle qui a pris forme ces dernières heures et qui pourrait enfin nous permettre de sortir d’une impasse politique qui dure depuis des semaines. Autrement dit, ce serait une évolution (moins coûteuse) de la proposition avancée par l’un des rapporteurs lors de la manœuvre du Sénat, Guido Quintino Liris (Fdi). Au lieu de procéder à un Sal extraordinaire en fin d’année pour toutes dépenses, cette possibilité serait permise seulement pour certains types d’emploisconsidéré comme plus méritant.

Superbonus, Giorgetti « Effets radioactifs sur les finances publiques »

Gamme d’hypothèses

Les conditions sont cependant indispensables. Si en effet, lors de la réunion pré-conciliaire d’hier après-midi, nous attendions un premier projet de texte du nouveau décret d’économie, dans la pratique, les choses se sont déroulées très différemment. En fait, l’article n’est pas encore finalisé. Seule une série de règles a été préparée sur laquelle le Conseil des ministres décidera directement.

La voie d’un décret ad hoc

Hier soir encore, le sous-secrétaire à l’économie, Lucie Albano, résumait ainsi la situation : « Une des options examinées est celle de Sal. Nous verrons demain en Conseil des ministres. Mais il existe plusieurs options sur le superbonus. Ce sont toutes des situations ouvertes. Maintenant Le ministre Giorgetti fera son bilan». Un décret ad hoc, comme le confirme encore la sous-secrétaire, est l’option la plus probable, mais pas tout à fait sûre : « Même dans ce cas, conclut-elle, les bureaux examinent quelle est la meilleure solution ».

Les tensions dans la majorité

En ce qui concerne les mérites des alternatives proposées, les prix de l’extension restent très bas, également à la lumière des propos du ministre de l’Économie, Giancarlo Giorgettiqui est revenu hier pour souligner le poids des surcoûts liés au superbonus. Dans un climat de fortes tensions au sein d’une majorité, qui reste encore divisée sur les solutions à adopter. En fait, malgré les fermetures de l’économie, la pression de Forza Italia sur ce point est de plus en plus tenace : «Nous travaillons pour une extension du superbonus, notamment pour ceux dont l’emploi dépasse 70%», a déclaré le vice-premier ministre Antonio Tajani. Mais un groupe de députés de la Ligue du Nord (Comaroli, Nicola Ottaviani, Rebecca Frassini, Vanessa Cattoi et Andrea Barabotti) est intervenu en soutien au ministre, soulignant que « le temps des dépenses heureuses en Superbonus 110 voulu par Conte, Gualtieri et leurs associés 5 étoiles est sur « .

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Sal extraordinaire trop onéreux

Mais pour en revenir à la disposition, l’hypothèse est qu’elle devrait reposer sur une variante sélective du Sal extraordinaire. C’est le mécanisme dont on parle depuis des jours maintenant. Étant donné que les règles sur le superbonus, en cas de transfert et de réduction, exigent que chaque Sal ait un montant égal à au moins 30%, il existe une possibilité assez élevée qu’une partie des dépenses de 2023 ne rentre pas dans un Sal de ce montant. année mais passer à 2024, perdant une partie du relief. Le Sal extraordinaire, créé en fin d’année sur la base des factures adressées au Sdi avant le 12 janvier, permettrait de résoudre ce problème, augmentant ainsi le périmètre des dépenses 2023.



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