Super League, quarts de finale, match 1 : quel Monza ! KO de Civitanova. Trente et Pérouse se portent bien, Milan profite


Le bruit sourd interne de Lube contre l’équipe de Brianza. Itas et les Ombriens débutent la série éliminatoire avec succès. Plaisance a perdu à domicile contre le super Kaziyski

6 mars 2024 (modifié à 23h21) -MILAN

Les matchs éliminatoires de la Super League masculine débutent à partir des quarts de finale. Il se joue au meilleur des cinq matchs. Match 2 prévu dimanche avec des terrains inversés. Le Trentin commence bien, avec 3-0 contre Modène.

Trente-Modène 3-0 (25-23, 25-18, 25-18)

Le premier match des quarts de finale de Super League fait sourire Itas Trentino, les vainqueurs de la saison régulière battant Modène en trois sets. Le premier set a été décisif, remporté par les Dolomites de justesse face à un Groupe Valsa volontaire. Mais après avoir remporté celui sur le fil, la donne change, Trento prend les rênes et maintenant dimanche à PalaPanini, ils auront l’occasion de sceller la qualification pour les demi-finales. Au départ, les deux sextuors sont ceux attendus la veille, Soli laissant le dernier arrivé, le passeur Garcia, sur le banc, confirmant Acquarone en salle de contrôle. C’est immédiatement 4-0 pour Trente avec Giuliani arrêtant le match à 6-1 avec un temps-mort, une bonne chose car à leur retour sur le terrain, Modène se rapproche du 11-10. Davyskiba donne l’avantage aux Emiliens à 12-14, mais Lavia et les défenseurs centraux locaux redonnent l’avantage à Itas à 19-17. Temps mort de Modène mais au retour sur le terrain c’est Rychlicki qui prend l’avantage en marquant le 22-18, le Groupe Valsa tente une remontée mais le blocage de Michieletto sur Juantorena vaut la finale 25-23. Dans le deuxième set, Trento a encore mieux commencé, atteignant 9-2 grâce à Lavia et Rychlicki. C’est tout le trio du Trentin qui prend les rênes du match (13-6), Boninfante remplace Bruno et Davyskiba tente d’entraîner les Emiliens mais Itas ne lâche rien (15-8). Lorsque Kozamernik lance l’attaque pour porter le score à 22-14, les crédits sont prêts à rouler. Cela nous amène au troisième set, dans lequel Modène connaît une première réaction (6-7) mais lorsque l’attaque et le service à domicile reviennent (10-6), les hôtes restent fermement en tête. A 17-12, demande d’un temps mort discrétionnaire pour Giuliani, Acquarone bloque Rinaldi pour 19-13 et le tour de Michieletto de servir ouvre la voie aux hôtes. Lequel en finale, malgré les tentatives de Davyskiba, ne lâche rien (23-16) et va se rapprocher. (Nicola Baldo)

civitanova-monza 1-3 (26-28, 25-20, 11-25, 20-25)

Tonfo Lube, le paradis de Monza. Dans le premier match des quarts de finale des séries éliminatoires, l’équipe d’Eccheli domine le match dans la région des Marches, annulant le désavantage du facteur terrain et donnant une leçon sévère à un Civitanova en difficulté, avec de nombreux joueurs maîtrisés, en particulier Lagumdzija, qui a subi le coups de Loeppky (mvp et meilleur buteur avec 28 points) et Swarc (18) bien dirigés par Kreling. Une symphonie d’équipe à Monza, en présence d’un Lube très faute (29 erreurs) qui a fait tout ce qu’il pouvait de mal. Ce n’est que dans le deuxième set que Vero Volley s’est retrouvé en difficulté, repoussant la tentative désespérée de retour de Lube dans le quatrième. Civitanova est toujours privé de Zaytsev, dont le rétablissement approche cependant, et le sextet sur lequel s’appuie Blengini est composé de De Cecco-Lagumdzija, des attaquants Nikolov-Yant, des défenseurs centraux Diamantini-Anzani, du libéro Balaso tandis que Monza s’aligne avec la diagonale Kreling-Szwarc. , Loeppky-Maar martèle, Di Martino-Galassi au centre, Gaggini libéro. Les Lombards ont pris un bon départ avec les périodes de service de Kreling et Loepky. Civitanova peine à démarrer, en attaque seul Yant se montre sur le ballon. Partiellement que Vero Volley commande également en raison de trop d’erreurs offensives des joueurs des Marches (16-20). Monza a cependant subi un léger déclin en finale, et Lagumdzija et Yant en ont profité et ont signé l’avantage (23-23) pour une fin inattendue : les invités ont fermé l’avantage au quatrième ballon du set avec une attaque de Takahashi. Le second s’ouvre sur une Lube plus déterminée qui grandit dans son niveau de service et de jeu de bloc. Le tour de Bottolo aux neuf mètres (deux aces, auteur de 5 points et 100%) a divisé le set avec Civitanova qui a mis la tête devant (18-14). Et il résiste à la tentative de remontée d’un adversaire moins lucide, remettant le match sur un match nul. Dans le troisième, Lube reste avec Bottolo sur le terrain, préféré à Nikolov et Chinenyeze au centre. Marchigiani trop fautif et imprécis, Monza prolonge ainsi son avance à 8-14 : Lagumdzija, en difficulté depuis le début du match, est repris par Nikolov, mais Lube est complètement dans la confusion et enchaîne erreur sur erreur (10) et pour Monza c’était trop facile de gagner un troisième set sans histoire. Inertie du match dans la moitié de terrain Vero Volley qui domine également le quatrième set, remportant un succès très clair et peut-être inattendu par la façon dont il s’est matérialisé en présence d’un adversaire impalpable. (Mauro Giustozzi)

Pérouse-Vérone 3-1 (23-25, 25-16, 25-21, 25-19)

Pérouse a débuté les quarts de finale des séries éliminatoires du Scudetto avec une victoire de retour devant 3 000 PalaBarton, battant Vérone en quatre sets, qui est cependant toujours restée dans le match. Après un début incertain, la supériorité des Ombriens était pourtant évidente, notamment en termes de continuité. Sir a été aligné par l’entraîneur Angelo Lorenzetti avec Giannelli comme directeur, Ben Tara comme adversaire, Flavio et Russo comme défenseurs centraux, Semeniuk et Leon comme attaquants et Colaci comme libéro. De son côté, l’entraîneur Radostin Stoytchev a présenté Spirito comme directeur, Esmaeilnezhad comme adversaire, Grozdanov et Zingel comme joueurs centraux, Dzavoronok et Mozic comme attaquants, avec D’Amico comme libéro. L’équipe de Scala a profité de quelques distractions de Pérouse au début et a prolongé son avance à 4-8 grâce à un Esmaeilnezhad dévastateur (9 points à la mi-temps avec 67% en attaque), faisant courir Lorenzetti à l’abri, qui (avec un score de 3-7) a rappelé Léon sur le banc, pour laisser de l’espace à Plotnytskyi. Monsieur a donc repris l’avantage (11-10) et ce n’est qu’en finale que Vérone a remis la tête en arrière, puis s’est offert le succès encore une fois grâce à Esmaeilnezhad (meilleur buteur de Vérone dans le match avec 23 points), qui avec deux as dans un rangée, il a clôturé les jeux (23-25). Le départ de Vérone a alimenté les craintes de Pérouse, après que lors du choc direct du championnat le 11 février dernier à PalaBarton, les Vénitiens se soient imposés au tie-break. Dans le deuxième set, cependant, il y a eu la domination incontestée de Pérouse (avec Plotnytskyi confirmé à la place de Leon), qui a pris le large dès le départ, contrecarrant toute tentative de retour des hommes de Stoytchev, qui ont ensuite cédé le dernier point (25 -16) avec la faute de service de Sani. Dans le sillage de la croissance générale de l’équipe, le sextet de Lorenzetti a démarré du bon pied également dans le troisième set (8-6) et, même s’il n’a pas réussi à créer un écart au score, il est toujours resté en tête grâce surtout à un Giannelli lucide et un Semeniuk toujours efficace (7 points à la mi-temps et meilleur buteur du match avec 24 points), qui a également cloué au sol l’attaque finale (25-21). Dans le quatrième set (Vérone avec Keita remplaçant un Mozic ennuyeux), Sir a de nouveau pris l’avantage, augmentant progressivement l’écart, également parce que Vérone était incapable de réagir et n’a joué un rôle de premier plan que par éclairs, se rapprochant de 18-15, avant que le effondrement final. C’est ensuite l’attaque verticale de Ben Tara (MVP avec 18 points) qui a clôturé le match (25-19), sous l’enthousiasme du public. Le deuxième match de ce quart de finale des éliminatoires du championnat est prévu dimanche à Vérone à 20h30, tandis que le troisième match se jouera à nouveau à Pérouse le 17 mars. (Antonello Menconi)

Plaisance-Milan 2-3 (25-20, 21-25, 25-19, 22-25, 10-15)

C’est la quatrième rencontre de la saison entre Plaisance et Milan, les rouges et blancs sont en avance après avoir remporté les deux matches de championnat, mais le défi le plus important est revenu aux Lombards, capables d’arracher la rosette de la Coupe d’Italie de la poitrine de Gas Ventes Bluenergy en éliminant l’équipe d’Anastasi en quarts de finale. La Course-1 à Palabanca permet à l’équipe de Piazza de conquérir à nouveau le terrain émilien, se donnant ainsi un avantage très précieux dans la série après une belle double remontée. Milan explique immédiatement pourquoi il est l’une des meilleures équipes de blocage, Plaisance répond avec le service le moins attendu : Caneschi trouve l’atout pour dépasser les rouges et blancs 9-8 après un bon départ des visiteurs. Quelques échanges plus équilibrés puis les hôtes trouvent le break avec une attaque imprenable (à plus de 60 %) et un Brizard inspiré. Le réalisateur lui-même décroche le 22-18 qui donne aux rouges et blancs une arrivée sereine qui est arrivée grâce au sceau de Simon qui a marqué deux as pour le 25-20. Le début du deuxième set était entièrement consacré à Allianz qui, malgré quelques problèmes de service, a exploité le blocage et l’attaque pour prendre une avance de 11-8. Piacenza a le mérite de ne pas laisser échapper ses adversaires et quand le perdant commet une invasion sur une attaque rejouée les rouges et blancs prennent à nouveau l’avantage 13-12. Mais Milan ne peut jamais être laissé pour mort: l’équipe de Piazza gagne le 18-15 au service, est à nouveau atteinte et puis grâce à Kaziyski, bien soutenu par Ishikawa, trouve un partiel mortel de 5-0 qui accompagne les invités jusqu’au match nul. Anastasi introduit à nouveau Leal, remplacé par Recine à la fin du deuxième set, tandis que Piazza propose la même formation en effectuant le double changement habituel à mi-parcours. Dès qu’ils dépassent le 10, les rouges et blancs changent de rythme et mènent 15-10 avec la série de services de Romanò qui facilite la vie de Piacenza, puis Leal se charge de remettre le ballon au sol jusqu’au final 25-19. Comme lors du deuxième set, c’est la série de services de Kaziyski qui a divisé la fraction, faisant passer Milan de 9-8 à 15-8 et donnant un tournant décisif au set avant d’entrer réellement dans le vif du sujet. A vrai dire, Piacenza parvient à revenir, arrive à un point de distance mais l’équipe de Piazza résiste à l’attaque et mène le match au tie-break grâce à un super Vitelli. Dans le cinquième set, les invités ont pris un bon départ, ont tout bien fait et grâce à l’as de Reggers, ils menaient déjà 7-4. Piacenza distribue quelques ballons et tout est facile pour les invités jusqu’au final 15-10. (Matteo Marchetti)





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