Kahn : espérons que le développement “au moins ralenti”
Les partisans d’une forte maîtrise des coûts ont également dû faire des concessions. Par exemple, une limite salariale supérieure fixe n’est plus un problème. En attendant, selon les informations de l’émission sportive, une limite de 500 millions d’euros était en discussion, ce qui aurait pu avoir un effet au moins à moyen terme si plus d’argent continuait à entrer en jeu dans le football européen. Le Bayern Munich a également préconisé une telle limite.
Oliver Kahn, PDG du Bayern Munich et vice-président du CEAa commenté l’accord fondamental dans les journaux “tz” et “Münchner Merkur” prudemment : “J’ai bon espoir que la tendance constante à la hausse des salaires et des indemnités de transfert sera au moins ralentie par cette réforme.”
En février avait également LDF-La directrice générale Donata Hopfen plaide pour un plafond salarial. Les salaires évolueraient dans des dimensions difficiles à comprendre. “C’est pourquoi je pense que le football se rendrait service si les salaires des joueurs étaient réglementés. Aussi parce que cela renforcerait l’égalité des chances en Europe.”dit houblon dans “Bild am Sonntag”.
Nouvelle sanction : relégation de la Ligue des champions vers lEurope ligue
A court terme, cependant, un autre point est crucial. Parce que toutes les règles sont sans valeur si aucune sanction n’est appliquée en cas de violation. Et c’était la faiblesse des réglementations financières du passé UEFA. Selon les médias, Paris Saint Germain et Manchester City 2013/14 pas de la Ligue des champions expulsés même s’ils ont enfreint les règles. 2020 réussi Manchester Cityun verrou dans le Ligue des champions prévenir par des moyens légaux. Pour les plus petits équipes a attaqué la chambre de contrôle financier de UEFA en revanche, du point de vue de certains clubs, plus dur. le Fair-play financier donc souvent créé plus d’insatisfaction que Fair-play.
Outre l’applicabilité, l’efficacité des sanctions reste à l’esprit. Entre-temps, certains participants de la Ligue des champions pilotés par des fonds souverains de pays riches comme le Qatar ou les Emirats Arabes Unis. Ces clubs peuvent facilement intégrer les amendes dans leur stratégie globale. Une nouvelle forme de sanction pourrait être un peu dissuasive à l’avenir.
Au dernier état des négociations, selon les informations du salon des sports, il ne faudrait pas seulement distinguer entre sanctions financières et exclusion sportive des compétitions européennes. De plus, une descente forcée du Ligue des champions vers lEurope ligue ou dans le ligue de conférence être possible. Ce qui semble moins cohérent à première vue serait tout de même une sanction sévère : les écarts de gains entre les compétitions sont énormes. Et pour les grands clubs, seul ça compte de toute façon Ligue des champions comme une étape pertinente. La détermination avec laquelle l’Instance de contrôle financier de l’UEFA prendra des mesures en cas de violation sera également décisive à l’avenir.