Spalletti : "Il n’est pas permis d’avoir peur ici. Napoli cherche toujours la victoire"

L’entraîneur bleu s’est exprimé en conférence de presse pour présenter le match face à l’Eintracht : « Je suis d’accord avec leur entraîneur, ce sera un match équilibré. Nous avons 50% de chances de passer »

De notre correspondant Maurizio Nicita

@poignées50

Spalletti laisse un instant place à l’enfant Luciano, qui a la joie du réveillon de la fête, comme un Noël : « Je vais mettre les biscuits pour le renne dans la soucoupe. Les cadeaux sont tous là à déballer, voyons voir si nous pouvons les prendre… ». Puis, sans rien enlever à l’enthousiasme, il est revenu se concentrer sur le match de Ligue des champions : « Je sais bien quels hommes sont mes joueurs. J’attends d’eux qu’ils sachent bien interpréter le match. Les Allemands ont plus d’expérience que nous à l’intérieur ou à l’extérieur. matchs. Mais nous nous sommes entraînés pour cela dans le championnat, sans jamais penser à l’avantage de points que nous avons mais toujours à la recherche de la victoire ».

anti-italien pour qui ?

Pour complimenter Spalletti, son collègue Glasner a répété que Naples était l’équipe la plus anti-italienne. Spalletti explique sans polémique : « C’est un cliché. Même l’Eintracht, par exemple, sait descendre puis repartir dans les espaces. Chacun utilise sa propre stratégie mais c’est difficile de jouer le jeu uniquement dans l’autre mi-temps à ces niveaux-là. » Glasner a bien dit : les chances sont égales. Et il a le petit avantage d’avoir remporté la Ligue Europa aux tirs au but, ce qui est important dans l’expérience ». Il y a beaucoup d’attente et de curiosité autour des performances des deux fabuleux attaquants du Napoli : « Dès qu’Osimhen a entendu un petit problème vendredi, il a immédiatement demandé un remplaçant, cela veut dire qu’il sait bien écouter son corps. Lui et Kvara ont la qualité pour envoyer des signaux au football mondial. Giuntoli et De Laurentiis ont su les choisir parmi un très grand groupe de joueurs. Et cette jeunesse a besoin de mûrir. Ils sauront interpréter ce défi. Il n’est pas permis de ayez peur ici. Nous verrons ce qu’ils nous montreront. Je suis confiant ».

attitude

Spalletti argumente : « On ne peut pas demander à Kvaratskhelia les mêmes choses que Di Lorenzo donne. Ensuite, il faut se sacrifier, car si l’Eintratcht repart rapidement, il doit y avoir la disponibilité des attaquants pour chasser leurs adversaires ». Pas de « révélations » sur la formation : « Parce que j’ai de sérieux problèmes dans mes choix. Elmas s’est très bien débrouillé à la place de Zielinski. Au début du parcours, Raspadori et Simeone se sont beaucoup investis dans notre progression. Politano et Lozano se relaient nous donne toujours la possibilité de maintenir une performance maximale dans ce rôle, ainsi qu’avec Mario Rui et Olivera ». Respect de l’adversaire et du collègue : « J’ai rencontré Glasner en tant qu’entraîneur du Zenit et il y a un respect mutuel. Olivier est un entraîneur moderne qui sait faire jouer son équipe très court. Qui sait appuyer haut ou garder le bloc bas pour redémarrer dans les espaces. Félicitations pour le football que vous offrez. Ce sera très difficile pour nous. Nous avons aussi pris quelques-uns de ses jeux pour les offrir à notre équipe ».

par lorenzo

Giovanni Di Lorenzo s’exprime également : « Nous sommes conscients de l’importance du match. Nous savons que Naples ne s’est jamais qualifié pour les quarts de finale et nous voulons réussir. En Ligue des champions, il y a un niveau supérieur. L’expérience de gagner le Le Championnat d’Europe aide. La comparaison qui tient, c’est l’unité du groupe, celle de l’équipe nationale comme à Naples ». Tactique ensuite : « Le rôle du latéral a évolué. On essaie d’occuper les espaces et notre attitude change en fonction de l’adversaire. » Et encore sur coups de pied arrêtés : « On a beaucoup travaillé là-dessus aussi, ce qui est un aspect très important quand les matchs sont équilibrés. »





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