Les achats hors taxes sont un terme familier pour quiconque voyage régulièrement ou a déjà visité un aéroport international. La possibilité d’acheter divers produits, tels que du parfum, de l’alcool, du chocolat et bien plus encore, en franchise d’impôt, est souvent une offre tentante pour de nombreux voyageurs.

Que signifie la franchise de droits ?

L’histoire des boutiques hors taxes remonte aux années 1940. Le Dr irlandais. Brendan O’Regan a fondé la première boutique hors taxes à l’aéroport de Shannon en Irlande. Il a eu l’idée de proposer des marchandises hors taxes aux passagers en attente d’escales.

Le terme « Duty-Free » vient de l’anglais et signifie littéralement « duty-free ». Dans le contexte des aéroports, il s’agit de magasins de détail spéciaux qui peuvent vendre leurs marchandises sans les taxes habituelles telles que la TVA ou les droits d’importation, a indiqué N26 dans un article en ligne. Ces magasins sont généralement situés dans les zones dites de transit ou douanières des aéroports internationaux, qui se trouvent en dehors du territoire douanier du pays concerné.

L’offre de boutiques hors taxes varie selon les endroits, mais propose généralement une large gamme de produits. Il s’agit notamment des parfums et cosmétiques, des spiritueux et des produits du tabac, des confiseries et de l’alimentation, de l’électronique, des montres et des bijoux, de la mode et des accessoires ainsi que des jouets. Des marques renommées et des articles de luxe sont souvent proposés.

Pourquoi vous devez montrer votre carte d’embarquement

Un aspect clé qui crée souvent de la confusion lors des achats hors taxes est la nécessité de présenter le billet d’avion – souvent sous la forme d’une carte d’embarquement. La principale raison de cette exigence est liée aux réglementations légales et aux exigences des autorités fiscales.

L’exploitation des boutiques hors taxes impose aux détaillants de fournir au fisc une preuve individuelle de leur destination de voyage. Cette preuve est apportée par le scan de la carte d’embarquement. L’objectif ici est de déterminer si le passager a le droit d’acheter des marchandises en franchise de droits, selon reisereporter.de dans un article en ligne. Dans ce contexte, la carte d’embarquement fait office de document reconnu.

L’approche repose sur le principe selon lequel le choix des produits du client, associé à sa destination de voyage, constitue la base des taxes et droits à payer par le détaillant, rapporte reisereporter.de. Ce facteur important est documenté lors du processus de paiement par la présentation de la carte d’embarquement. En conséquence, les taxes perçues par le gouvernement sur les articles vendus hors taxes sont basées sur la destination du passager.

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