Sécurité au travail, la crise arrive : à partir du 1er octobre, permis à points pour les entreprises et les indépendants

Le permis « crédit » pour la sécurité au travail arrivera à partir du 1er octobre 2024. Il le prévoit projet de décret législatif Pnrr qui devrait arriver sur la table cet après-midi armoire, après la réunion qui a eu lieu dans la matinée entre le Gouvernement et les partenaires sociaux. Ils doivent avoir un permis de conduire entreprisestravailleur indépendant qui travaillent sur des chantiers temporaires ou mobiles. L’autorisation est délivrée par l’Inspection nationale du travail après enregistrement auprès de la chambre de commerce ; le respect par l’employeur et les travailleurs des obligations de formation ; possession du Durc, du Document d’évaluation des risques et du Document unique de régularité fiscale. La licence démarre à partir de trente crédits et permet d’opérer avec une dotation égale ou supérieure à 15 crédits.

A la fin de la réunion avec le gouvernement Pierpaolo Bombardieri, secrétaire général de l’Uil, a confirmé qu’«une licence à points, appelée «licence à crédit», est en train d’être introduite dans le secteur de la construction. «La vie d’un travailleur équivaut à vingt crédits, on peut travailler avec 15 points et cinq peuvent être récupérés avec une formation».

Une répression du travail illégal et des irrégularités dans les marchés publics se dessine donc. Parmi les propositions anticipées par la ministre du Travail Marina Calderone, il y a celle de réintroduire « le délit d’interposition illicite de travail »ou dans les cas où la main-d’œuvre est mise à disposition sans qu’il y ait un contrat d’approvisionnement régulier et le détachement de personnel régulier.

La décriminalisation de 2016

En 2016, il y a eu une dépénalisation (avec le décret législatif n° 8/2016) et depuis lors, seule une sanction administrative est prévue. L’intention du gouvernement est de revenir en arrière. L’administration illicite « est l’un des délits les plus commis » dans le domaine des marchés publics, a rappelé le ministre, et surtout dans un secteur comme celui de la construction, où le risque d’accidents est plus élevé, il est nécessaire d’intervenir en le plaçant « sous la plus haute surveillance ». attention » . D’autres mesures à l’étude comprennent une interdiction de passation de marchés de deux à cinq ans en cas de violations graves ou de responsabilité pénale avérée pour des délits en matière de santé et de sécurité et l’absence d’avantages fiscaux et sociaux pour les entreprises irrégulières.

Projet de décret législatif, recrutement des inspecteurs du travail prolongé jusqu’en décembre 2025

Le projet de disposition explique que « les autorisations d’embauche non utilisées par l’Inspection nationale du travail » sont prolongées jusqu’au 31 décembre 2025. En particulier, « l’Inspection nationale du travail est autorisée, pour les années 2024-2026, à embaucher à titre permanent, sans effectuer au préalable les démarches de mobilité requises, 250 unités de personnel à classer dans le domaine des fonctionnaires, des inspecteurs professionnels familiaux techniques surveillance de la santé et de la sécurité, situation économique de la F1, avec augmentation correspondante des effectifs pour les unités excédentaires. . Afin – lit-on dans le projet – de renforcer l’activité de contrôle en matière de travail, de législation sociale, ainsi que de santé et de sécurité au travail, en renforçant le personnel d’inspection chargé des contrôles dans le domaine, les autorisations d’embauche non utilisées par le Inspection nationale du travail et prévu par l’article 13, alinéa 2, du décret législatif du 21 octobre 2021, n. 146, converti, avec modifications, par la loi du 17 décembre 2021, n. 215 et article 5-ter du décret législatif du 3 septembre 2019, n. 101, converti, avec modifications, par la loi du 2 novembre 2019, n. 128, sont prorogés jusqu’au 31 décembre 2025″.



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