Sander Lantinga a eu une crise de panique pendant six jours à cause de Nick & Simon


Sander Lantinga a connu une attaque de panique de six jours en raison d’une annulation de Nick & Simon. « Ils ne sont pas venus, alors ils nous ont demandé. Puis j’ai commencé à faire de l’hyperventilation.

© SBS, Ruud Baan

Presque toutes les célébrités le connaissent : les attaques de panique. Du moins, à en juger par le nombre d’entre eux qui en parlent dans les médias. Sander Lantinga raconte désormais son histoire en détail dans le podcast 30 minutes crues. Il s’est retrouvé en burn-out en 2012 après avoir tourné l’émission télévisée De Zomer Voorbij.

Tomber dans les pommes

Sander dit qu’il a eu « un épuisement professionnel de quatre ans ». « Je pense que j’étais en fait dans une phase préliminaire depuis trois quarts d’année, mais j’ai ignoré tous les signaux. Et un jour, ça n’a plus fonctionné. Puis j’ai marché sur Hoog Catharijne et puis j’ai pensé : hé, je crois que je vais m’évanouir maintenant. Ça a commencé à bouger.

Il poursuit : « Ensuite, j’ai couru dehors aussi. Eh bien, cela a fonctionné à nouveau. J’ai eu ça deux ou trois fois de plus, puis est venu l’été le plus bizarre de ma vie. C’était donc en 2012 avec Lowlands, Klusjesmannen, Try Before You Die, les festivals 3FM… »

63 jours

C’était beaucoup trop occupé, explique Sander. « Simplement 63 jours non-stop d’affilée, travaillant aussi les samedis et dimanches et aussi les soirs… Bref, ça devait être amusant, alors j’ai pensé que c’était amusant. Et puis j’ai remarqué que je commençais à l’aimer de moins en moins. Puis sont venues ces crises d’hyperventilation ou de panique, appelez-les comme vous voulez.

Nick & Simon ont fourni la paille qui a fait déborder le vase. «Nous allions faire De Zomer Voorbij pendant dix jours, car Nick et Simon ne venaient plus, alors ils ont demandé à Coen et à moi. Et le cinquième jour, puis nous sommes entrés dans Montpellier. Et puis ça n’a vraiment plus marché. »

Nick et Simon

L’annulation de Nick & Simon a été le clou du cercueil de Sander. « J’ai alors eu une crise de panique ou une crise d’hyperventilation et il n’y avait pas de fin à ce moment-là. J’ai pensé : c’est le sentiment le plus détendu que j’ai jamais vraiment… Tous les sens sont à 110 %. Votre peau irrite, vous êtes essoufflé. Vous ne pouvez plus penser clairement.

Il poursuit : « C’est juste de la peur. La réalisation que vous n’avez nulle part où aller rend la situation encore pire. Et la prise de conscience que vous pensez : ça reviendra bientôt, c’est encore pire. Et puis vous obtenez la peur de la peur. Et au moment où vous réalisez cela, alors la fin manque. Eh bien, alors j’ai eu une crise de panique non-stop pendant six jours.

Carrière à la télévision

Ce stress est-il revenu l’année dernière lorsque sa carrière à la télévision a échoué ? Était-il en colère contre la suppression de Four Is Too Much ? « Non pas du tout. Loin de. Non. Ensuite, c’est aussi un peu Alice au pays des merveilles et je trouve ça marrant d’en faire plus. »

Il poursuit : « Parfois, quelque chose ne va pas et puis beaucoup d’autres ne fonctionnent pas après moi et je sais aussi que ce n’est pas de ma faute. Ensuite l’émission s’appelle ‘Quatre c’est trop’, elle est diffusée après deux épisodes et là je suis le premier à faire la blague : ‘Alors le titre fait référence au nombre d’épisodes !’

30 minutes crues

Le podcast 30 Minutes Raw :



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