La surexploitation des espèces sauvages, comme les animaux terrestres, les poissons, les algues, les champignons, les plantes ou les arbres, menace la prospérité de milliards de personnes. C’est ce qui ressort d’un rapport des Nations unies publié vendredi, qui fait des propositions pour une utilisation plus durable et met l’accent sur les connaissances des peuples autochtones.
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Rapport de l’ONU : « La surexploitation des espèces animales et végétales sauvages a également des conséquences dévastatrices pour l’homme »
