« Poutine joue à l’heure et son évaluation semble correcte » : vous ne devriez pas manquer ces 5 articles phares aujourd’hui


1. « Si nous ne fournissons pas d’armes, il pourrait y avoir un règne de terreur militaire en Ukraine » : Sven Biscop prévient l’Europe

L’Amérique veut fermer le robinet de l’argent à l’Ukraine, qui menace de laisser le pays sans armes ni munitions. « L’Europe doit se préparer à compenser cela », estime l’expert en défense et politologue Sven Biscop (Institut Egmont et Université de Gand).

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Sven Biscop / Famille et amis pleurent un soldat ukrainien tombé au combat à Kiev.Image VR

2. Je pense qu’on pourrait tout aussi bien se demander si les militants dépassent leur objectif en ciblant les hommes blancs.

Une grande partie du débat sur le woke consiste en un non-débat qui détourne l’attention de ce qui compte vraiment : les inégalités sociales. Ciska Hoet écrit ceci après avoir regardé Sarah au pays éveillé sur Toile VRT.

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Sarah Vandeursen avec des étudiants lors d'une conférence de Bart De Wever, dans « Sarah in Wokeland ».  Image VRT

Sarah Vandeursen avec des étudiants lors d’une conférence de Bart De Wever, dans « Sarah in Wokeland ».Image VRT

3. Le pédagogue Pedro De Bruyckere ne veut pas être défaitiste après les mauvais résultats du PISA : « Nous ne sommes certainement pas devenus plus bêtes »

Malgré les mauvaises nouvelles – une fois de plus les résultats des étudiants sont pires qu’avant – le pédagogue Pedro De Bruyckere (Université d’Utrecht) espère que le redressement a maintenant commencé. « Des pays comme l’Irlande, l’Angleterre et l’Estonie – qui s’améliorent – ​​nous montrent qu’il est possible de faire mieux. »

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Pedro De Bruyckere à propos des résultats du PISA : « Mon sentiment est que le redressement a peut-être commencé » Image Photo News

Pedro De Bruyckere à propos des résultats PISA : « Mon sentiment est que le redressement a peut-être commencé »Image Photo Actualités

4. « C’est dangereux partout » : 215 Belges et ayants droit ne peuvent pas quitter Gaza

215 Belges et « ayants droit » sont toujours détenus à Gaza, selon les chiffres Le matin demandé. Maintenant qu’Israël a déplacé son offensive vers le sud, leurs familles craignent pour leur sort. «Mes enfants me demandent dix fois par jour quand maman rentre à la maison.»

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Une jeune Palestinienne blessée, Lana Ebu Safi, est soignée à l'hôpital Al Aqsa à Gaza.  Image Anadolu via Getty Images

Une jeune Palestinienne blessée, Lana Ebu Safi, est soignée à l’hôpital Al Aqsa à Gaza.Image Anadolu via Getty Images

5. Nous savons comment réduire l’écart entre riches et pauvres et pourtant rien ne se passe : « Parce que les politiciens ne veulent pas suivre »

C’est ainsi que l’on comble l’écart entre les riches et les pauvres : on élève la base vers le haut et on fait en sorte que le sommet ne puisse pas s’élever de manière exubérante. Simple, non ? Et pourtant, de petits mouvements. « Parce que les politiciens ne veulent pas suivre le mouvement », jugent sévèrement les experts.

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Cindy (à gauche) et sa copine Katrin Grooten.  Il y a deux ans, Cindy était en médiation collective de dettes, elle a désormais un emploi permanent.  Image Éric de Mildt

Cindy (à gauche) et sa copine Katrin Grooten. Il y a deux ans, Cindy était en médiation collective de dettes, elle a désormais un emploi permanent.Image Éric de Mildt



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