Bien qu’il ait gagné le procès en diffamation – sa biographie peut rester en magasin – Maxime Meiland n’ose pas répondre devant la caméra. « Il y aura d’autres procédures sur le fond. »
Un coup de pouce pour Maxime Meiland : sa biographie peut rester sur le marché et elle n’a pas à la rectifier. Son violeur présumé l’avait exigé, mais le juge estime qu’elle l’a suffisamment anonymisé dans le livre. Ce jeune homme a annoncé une procédure sur le fond et une procédure pénale est également en cours concernant la question de la culpabilité.
Pas devant la caméra
Maxime est encore loin de se débarrasser de cet homme et c’est pourquoi elle ne souhaite pas célébrer cette victoire intérimaire devant la caméra de RTL Boulevard, révèle l’expert Aran Bade dans le afficher la section. « Elle ne veut pas répondre devant la caméra. »
Maxime répond par écrit : « Je suis très heureux, surtout pour les victimes qui voient désormais que les choses peuvent bien se passer si on garde le dos droit. »
Aran : « Ils vont prendre un repas tranquille ce soir pour en parler, parce que c’est quelque chose. Elle a déjà raconté son histoire à des amis à plusieurs reprises, puis l’a mise dans le livre. Cela lui a vraiment fait quelque chose.
« Elle n’ose pas »
Pourquoi Maxime ne veut-il pas être devant la caméra de Boulevard ? Présentateur Lex Uiting : « Nous allons donc dîner ce soir avec une issue heureuse intermédiaire, mais Maxime dit également : ‘Je n’ose pas encore répondre devant la caméra, car il y aura effectivement d’autres débats sur le fond.’ Le bas n’est pas encore terminé, n’est-ce pas ? »
L’avocate pénaliste Clarice Stenger : « Non, son avocat Peter Schouten indique qu’il continuera à plaider et à recueillir davantage de preuves. »
Et puis ça n’aide pas si Maxime fait des déclarations à ce sujet dans les médias.
‘Un problème’
Le juge estime que Maxime n’a pas donné d’indications trop claires sur son violeur présumé dans sa biographie. Lex : « Bien sûr, il a lui-même donné une interview dans Story et Privé. »
Clarice : « C’est un problème. C’est en fait lui qui est blâmé pour cela. L’ensemble du processus contradictoire est équilibré parce qu’il a commencé à parler lui-même à ces magazines. Il l’a fait lui-même.
De plus, Clarice souligne que l’affaire de diffamation ne portait pas sur la question de la culpabilité. « Donc cela continue et puis nous avons aussi l’affaire pénale. C’est à peu près la question : ce viol a-t-il eu lieu ? Ce tribunal ne se prononcera pas là-dessus.
‘Passez!’
Et qu’en pense Yvonne Coldeweijer, qui a de bons contacts avec Maxime ? Elle écrit sur sa chaîne de jus : « Frère, tu as perdu. 🤦♀️ Je comprends que tu sois soudain célèbre dans ton village et que tu te portes bien, mais le juge a déjà parlé, alors sinon continue ta vie. 👍”
Elle conclut : « Le fait que vous souhaitiez soi-disant rester anonyme devient de plus en plus incroyable. Votre nom n’a jamais été mentionné. Passez.»