L’opposition à Meppel manque d’empathie de la part de l’échevin dans le débat sur le travail de jeunesse

Les partis d’opposition à Meppel manquent d’empathie de la part du conseiller Jeannet Bos lors d’un débat sur le travail de jeunesse et soumettent donc une motion de regret. Il n’y a pas de majorité pour cela.

Welzijn MensenWerk, qui mène un travail de jeunesse dans la commune de Meppel, a demandé près d’un demi-million d’euros de subvention supplémentaire en raison de la hausse des coûts. Les projets impliquant notamment le travail de jeunesse seraient en danger. Le conseil municipal en a débattu ce soir, à l’initiative du SP et de l’Union Chrétienne.

Le conseiller Bos indique à plusieurs reprises que la municipalité ne se contentera pas de fournir de l’argent supplémentaire. Cela nécessite une justification. « Malgré plusieurs conversations, la justification du montant de 470 000 euros n’a pas encore été fournie », a déclaré Bos.

Welzijn MensenWerk reçoit chaque année une subvention de 1,5 million d’euros, ce qui en fait le plus grand bénéficiaire de subventions de la commune. L’organisation reçoit également des subventions supplémentaires pour des projets individuels. L’année prochaine, la subvention sera portée à 1,6 million d’euros.

Le président du parti, Xander Topma (SP), est déçu par les réponses souvent techniques de l’échevin. « Elle n’a pas suffisamment montré qu’elle comprenait le
impact de la situation actuelle sur les jeunes aidés à Meppel. » C’est pourquoi le parti présente, avec l’Union chrétienne, une motion de tristesse. Mais une majorité ne la soutient pas.



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