Lonely Hilversummer s’adresse au Conseil d’État contre l’abattage de 18 arbres, mais surtout en faveur d’un « bon processus »



« Je ne suis pas contre l’abattage d’arbres, mais je veux que la municipalité publie correctement. Lors de la publication, la municipalité ne précise pas suffisamment clairement quels arbres sont impliqués. Mon intérêt est que la municipalité puisse être corrigée. Elle est devenue si rigide que mon objection n’a aucune influence, car je n’habite pas près de l’arbre », dit-il. « Mais nous avons intérêt à ce qu’une municipalité fonctionne correctement. Maintenant, ce sont les permis d’abattage, mais bientôt ce seront les permis qui me concernent, mais que je ne reçois pas en raison d’une mauvaise communication. »

Cependant, un représentant de la municipalité présent dans la salle affirme que la municipalité a été suffisamment prudente. Cependant, depuis le recours du Hilversummer, de légères améliorations ont été apportées à la communication concernant des permis similaires. « Par exemple, il comprend les noms de rues et les numéros de maison les plus proches. Les arbres eux-mêmes reçoivent un point physique. »

C’est une petite victoire pour le Hilversum. « La commune bouge, mais très lentement. » Pourtant, il ne se soucie pas des lignes et des points. « Il ne s’agit pas de la carte avec des croix et des lignes, mais de la manière dont cette décision est annoncée. »

Prononciation

Après une courte interruption, le Conseil d’État rend sa décision. Le juge annonce qu’il déclare le recours du Hilversummer non fondé. Comme la municipalité et le tribunal d’Utrecht, le Conseil d’État précise que le Hilversummer n’est pas directement intéressé, car il habite à plus de 200 mètres de l’arbre et ne peut même pas le voir depuis son domicile.

Le juge précise également que même si les décisions en matière de permis environnementaux doivent être claires, cela ne fait pas de lui une partie intéressée. « Il existe également d’autres moyens pour maintenir la municipalité sur la bonne voie. » Par exemple, plus tôt au cours de la séance, le président a fait référence à un fonctionnaire municipal occupant le poste d’ombudsman.

Le Hilversummer reste sobre quant à la décision. Il a ensuite déclaré que cette séance lui avait appris qu’il existe d’autres moyens de corriger la municipalité.



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