Les avantages sociaux comprennent également le loyer et les intérêts sur le premier prêt hypothécaire. Les instructions de l’Agence du revenu sur l’actualité


Des sommes versées par les salariés pour le loyer et les intérêts de l’hypothèque de leur premier logement qui, suite aux innovations introduites par le Loi de finances 2024 sont entrés dans la catégorie des avantages sociaux au seuil des 2 mille euros hors impôts pour les salariés avec enfants à charge, des précisions sont arrivées de l’Agence des Revenus (circulaire 5/% du 7 mars) sur les solutions envisagées, en termes de revenus des salariés, non seulement de la manœuvre (loi 213/2023) mais aussi de Arrêté d’avances (Décret législatif 145/2023). Des précisions globales sur le bien-être des entreprises.

Quels changements en matière de protection sociale des entreprises

La circulaire passe en revue certaines des nouvelles concernant le bien-être des entreprises. La loi de finances 2024 (par dérogation à l’article 51 du TUIR) établit que les biens et services fournis ainsi que les sommes versées ou remboursées aux travailleurs ne contribuent pas aux revenus des salariés, dans la limite de mille euros. Ce toit s’élève à 2 mille euros si le salarié a des enfants à charge. Les avantages sociaux peuvent inclure : pas seulement les sommes pour le paiement des charges domestiques (électricité, eau et gaz), mais aussi ceux du loyer ou des intérêts de l’hypothèque de la résidence principale du travailleur, même si le contrat de location ou l’hypothèque est inscrit au nom du conjoint du salarié ou d’un autre membre de la famille.

L’Agence apporte également des précisions sur les modalités déterminer la compensation en nature dans le cas des prêts accordés au travailleur, en tenant compte notamment du taux de référence officiel (Tur) et de la réduction du taux de l’impôt de substitution sur les primes de performance de 10 à 5 %.

L’allègement : nouveau traitement complémentaire pour certaines catégories de travailleurs

Dans le but de soutenir le secteurs du tourisme, de l’hôtellerie et du spala dernière loi de finances reconnaît également en faveur des travailleurs des établissements de gestion de l’alimentation et des boissons et pour ceux du secteur du tourisme, y compris les établissements thermaux, un traitement complémentaire particulier, qui ne contribue pas à la formation de revenus, égal à 15%. La mesure concerne les services rendus entre le 1er janvier 2024 et le 30 juin 2024 par les salariés dont les revenus ne dépassent pas 40 mille euros pour la période fiscale 2023. c’est calculé sur le salaire brut versé pour les heures supplémentaires effectuées les jours fériés ou pendant la nuit. L’employeur, dès le premier salaire utile et, en tout état de cause dans le délai de réalisation des opérations de régularisation de fin d’année, accorde le régime complémentaire particulier sous forme de prélèvement à la source, en indiquant ensuite le montant dans l’attestation unique du salarié relative à la période fiscale 2024.

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Retraites : le traitement fiscal du rachat de périodes non couvertes par le salaire

Enfin, la circulaire fait le point sur les effets fiscaux des nouvelles mesures concernant le rachat des périodes non couvertes par le salaire au profit de la retraite. À titre expérimental pour la période de deux ans 2024-2025, les personnes affiliées à l’un des systèmes de gestion de la sécurité sociale administrés par l’INPS, qui ne bénéficient pas de pension et n’ont pas d’ancienneté en matière de cotisation au 31 décembre 1995, peuvent racheter les périodes antérieures au entrée en vigueur de la loi de finances entre l’année de la première et de la dernière contribution accréditée. Des conditions spécifiques sont prévues pour la demande et les périodes de rachat ne peuvent excéder 5 ans, même si elles ne sont pas continues. Le salarié peut demander à son employeur de prendre en charge le coût du rachat grâce aux primes de production dues au travailleur.



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