Les recherches menées par les services de renseignement américains montrent que le « syndrome de La Havane », une maladie qui a touché les diplomates américains et les responsables du renseignement dans le monde entier, n’a probablement pas été causé par les actions d’un adversaire étranger. Le Washington Post écrit cela mercredi, citant deux sources au courant de l’enquête.
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