Van Opbergen se rend également compte que la transition ne sera pas facile. « Il ne s’agit pas seulement d’azote, mais il faut s’attaquer intégralement aux problèmes. Il faut aussi travailler sur le méthane, le CO2, l’approche sécheresse et la qualité de l’eau. C’est tout simplement nécessaire. Et il y a aussi des groupes d’agriculteurs qui y sont ouverts. »
« Le gouvernement doit faciliter correctement la transition de l’agriculture »
