Le destin de la fonderie d’aluminium Aldel ne tient qu’à un fil en raison des prix élevés de l’énergie. Mais d’autres entreprises risquent également d’avoir des ennuis. « Le gouvernement ne soutient pas l’industrie ici. »
Aldel en des temps meilleurs, lorsque la salle d’électrolyse et la fonderie étaient encore en activité. L’usine est désormais mise sous cocon et pourrait rouvrir au début de l’année prochaine, en fonction des prix de l’essence. Photo: archives Kees van de Veen