Nous avons sélectionné 8 histoires De Morgen que vous pourrez lire après ce week-end.
1. Ce n’était pas un débat wok, mais une diffamation
C’était un spectacle déchirant, le tapage autour de la fonction culturelle que l’écrivain Dalilla Hermans tiendra à Bruges. La discussion était censée être réveillée, mais il y avait en fait quelque chose d’autre derrière.
Quelque chose de méchant qu’il faut continuer à nommer, écrit Joël De Ceulaer dans une analyse.
2. Véronique Goossens : « Le chagrin de mes enfants suite à la mort de leur père, Christophe Lambrecht, est dur à supporter »
Il y a cinq ans, Véronique Goossens (53 ans) a troqué le journalisme radio et TV pour un poste de chef économiste chez Belfius. Dans une conversation avec De Morgen Magazine, il est question d’argent, du plafond de verre et de la perte de son ex, la voix de StuBru, Christophe Lambrecht.
« Bien sûr, il y a eu des réactions à ma nomination. Je n’ai même pas de diplôme en économie et je suis aussi une femme.
3. Emmanuel Macron pourrait-il aussi avoir un peu raison sur l’Europe ?
Alors que l’opposition sociale à son régime de retraite embrase son propre pays, le président français Emmanuel Macron met le feu à la politique internationale avec son voyage en Chine et son plaidoyer pour une Europe plus indépendante.
Qu’y a-t-il derrière cette manœuvre ? Le commentateur en chef Bart Eeckhout analyse la politique du président français.
4. ‘Honnêtement ? Ces projecteurs me rendent juste nerveux, donc je suis content qu’il y en ait moins ‘
Flâner, vivre l’instant présent : c’est ce que Marie Vinck (40 ans) aimerait apprendre. En attendant, elle continue encore et encore, en tant que mère, metteur en scène et actrice. À partir de la semaine prochaine, elle peut être vue dans la série télévisée Diamants bruts.
« Parfois, je peux être trop empathique », déclare Vinck dans une interview ce week-end. « Ma mère a ça aussi, j’en ai hérité quand j’étais enfant et j’ai peur de le transmettre aussi à Gloria. J’espère qu’elle pourra être un peu plus insouciante dans la vie, car j’aimerais être beaucoup plus cool moi-même.
5. « Du coup, toute ma vie était routinière » : les troubles mentaux des jeunes pères sont encore trop souvent sous-exposés
La parentalité précoce peut aussi être une épreuve pour les pères. La responsabilité semble écrasante, le perfectionnisme les tue ou la privation de sommeil s’accumule dans des proportions problématiques. Aussi avec les jeunes pères.
« Il y a eu des moments où je pensais que ma famille serait mieux sans moi. »
6. « Le temps de la fin de la guerre est révolu » : pourquoi la Russie nous fait regarder différemment l’industrie belge de l’armement
La guerre en Ukraine est un tournant historique. Beaucoup de choses ont changé en peu de temps, y compris notre vision de l’industrie de la défense et de l’armement. Là où jusqu’à récemment personne ne voulait être associé à ce secteur, cela semble maintenant complètement inversé.
« Soudain, nous réalisons à nouveau qu’un bras de défense fort est nécessaire pour garantir notre sécurité et que nous devons également être en mesure de soutenir un effort de guerre. »
7. « Le prince Laurent n’est pas content, j’en suis sûr »: une nouvelle série documentaire montre le triste portrait d’un prince qui n’a jamais été aimé
Laurent de Saxe-Cobourg, le prince rebelle, le pleurnicheur, le canon lâche de Laeken. Aucun royal n’a jamais été un livre aussi ouvert. Et pourtant, le documentariste Niels Vandenbussche informe Laurent, prince en surplus, à partir de mercredi sur Canvas, quelques nouvelles astuces du voile. « Claire ne savait pas à quel point Laurent était traumatisé lorsqu’elle l’a épousé », dit-il dans une interview avec la journaliste Ann Van den Broek.
8. « Je pense que le 24 février de l’année dernière, la vision du monde de beaucoup de gens s’est effondrée, y compris la mienne »
Beaucoup doutent que le mandat d’arrêt contre Poutine conduise un jour à une arrestation. Mais ne rien faire n’est pas une option, dit l’ancien haut juge de la Cour pénale internationale Christine Van Den Wyngaert (71). « Nous avons laissé Poutine faire ce qu’il voulait pendant des années. En Tchétchénie, en Géorgie, lors de l’annexion de la Crimée et nous n’avons rien fait non plus lorsqu’il s’est rangé du côté d’Assad dans la guerre civile syrienne. Alors oui, il arrive un moment où il faut agir et tracer la ligne.