« Le chagrin de la mort de leur père, Christophe Lambrecht, est dur à supporter » : 8 histoires à lire après ce week-end


Nous avons sélectionné 8 histoires De Morgen que vous pourrez lire après ce week-end.

Éditorial

1. Ce n’était pas un débat wok, mais une diffamation

C’était un spectacle déchirant, le tapage autour de la fonction culturelle que l’écrivain Dalilla Hermans tiendra à Bruges. La discussion était censée être réveillée, mais il y avait en fait quelque chose d’autre derrière.

Quelque chose de méchant qu’il faut continuer à nommer, écrit Joël De Ceulaer dans une analyse.

De gauche à droite : Dyab Abou Jahjah, Dalilla Hermans, Rachida Lamrabet et Youssef Kobo.Imaginez le matin

2. Véronique Goossens : « Le chagrin de mes enfants suite à la mort de leur père, Christophe Lambrecht, est dur à supporter »

Il y a cinq ans, Véronique Goossens (53 ans) a troqué le journalisme radio et TV pour un poste de chef économiste chez Belfius. Dans une conversation avec De Morgen Magazine, il est question d’argent, du plafond de verre et de la perte de son ex, la voix de StuBru, Christophe Lambrecht.

« Bien sûr, il y a eu des réactions à ma nomination. Je n’ai même pas de diplôme en économie et je suis aussi une femme.

Véronique Goossens.  Sculpture Carmen De Vos

Véronique Goossens.Sculpture Carmen De Vos

3. Emmanuel Macron pourrait-il aussi avoir un peu raison sur l’Europe ?

Alors que l’opposition sociale à son régime de retraite embrase son propre pays, le président français Emmanuel Macron met le feu à la politique internationale avec son voyage en Chine et son plaidoyer pour une Europe plus indépendante.

Qu’y a-t-il derrière cette manœuvre ? Le commentateur en chef Bart Eeckhout analyse la politique du président français.

Le Premier ministre néerlandais Mark Rutte a reçu le couple Macron à Amsterdam la semaine dernière.  Si elle dépend du président français, l'Europe ne remettra plus son sort aux Etats-Unis.  Photo Photo Nouvelles

Le Premier ministre néerlandais Mark Rutte a reçu le couple Macron à Amsterdam la semaine dernière. Si elle dépend du président français, l’Europe ne remettra plus son sort aux Etats-Unis.Photo Photo Nouvelles

4. ‘Honnêtement ? Ces projecteurs me rendent juste nerveux, donc je suis content qu’il y en ait moins ‘

Flâner, vivre l’instant présent : c’est ce que Marie Vinck (40 ans) aimerait apprendre. En attendant, elle continue encore et encore, en tant que mère, metteur en scène et actrice. À partir de la semaine prochaine, elle peut être vue dans la série télévisée Diamants bruts.

« Parfois, je peux être trop empathique », déclare Vinck dans une interview ce week-end. « Ma mère a ça aussi, j’en ai hérité quand j’étais enfant et j’ai peur de le transmettre aussi à Gloria. J’espère qu’elle pourra être un peu plus insouciante dans la vie, car j’aimerais être beaucoup plus cool moi-même.

Marie Vincent.  Figurine Thomas Sweertvaegher

Marie Vincent.Figurine Thomas Sweertvaegher

5. « Du coup, toute ma vie était routinière » : les troubles mentaux des jeunes pères sont encore trop souvent sous-exposés

La parentalité précoce peut aussi être une épreuve pour les pères. La responsabilité semble écrasante, le perfectionnisme les tue ou la privation de sommeil s’accumule dans des proportions problématiques. Aussi avec les jeunes pères.

« Il y a eu des moments où je pensais que ma famille serait mieux sans moi. »

Valentijn Deneulin avec sa fille, qui a maintenant 1,5 ans.

Valentijn Deneulin avec sa fille, qui a maintenant 1,5 ans. « Je me suis mis beaucoup de pression pour être le père parfait. »Figurine Hannes Vandenbroucke

6. « Le temps de la fin de la guerre est révolu » : pourquoi la Russie nous fait regarder différemment l’industrie belge de l’armement

La guerre en Ukraine est un tournant historique. Beaucoup de choses ont changé en peu de temps, y compris notre vision de l’industrie de la défense et de l’armement. Là où jusqu’à récemment personne ne voulait être associé à ce secteur, cela semble maintenant complètement inversé.

« Soudain, nous réalisons à nouveau qu’un bras de défense fort est nécessaire pour garantir notre sécurité et que nous devons également être en mesure de soutenir un effort de guerre. »

Un hangar de l'armurier français Forges de Tarbes.  ImageAFP

Un hangar de l’armurier français Forges de Tarbes.ImageAFP

7. « Le prince Laurent n’est pas content, j’en suis sûr »: une nouvelle série documentaire montre le triste portrait d’un prince qui n’a jamais été aimé

Laurent de Saxe-Cobourg, le prince rebelle, le pleurnicheur, le canon lâche de Laeken. Aucun royal n’a jamais été un livre aussi ouvert. Et pourtant, le documentariste Niels Vandenbussche informe Laurent, prince en surplus, à partir de mercredi sur Canvas, quelques nouvelles astuces du voile. « Claire ne savait pas à quel point Laurent était traumatisé lorsqu’elle l’a épousé », dit-il dans une interview avec la journaliste Ann Van den Broek.

Le Prince Laurent au Te Deum à l'occasion de la Fête du Roi 2022 en la Cathédrale Sint-Michiels et Sint-Gudula à Bruxelles.  Photo Belgique

Le Prince Laurent au Te Deum à l’occasion de la Fête du Roi 2022 en la Cathédrale Sint-Michiels et Sint-Gudula à Bruxelles.Photo Belgique

8. « Je pense que le 24 février de l’année dernière, la vision du monde de beaucoup de gens s’est effondrée, y compris la mienne »

Beaucoup doutent que le mandat d’arrêt contre Poutine conduise un jour à une arrestation. Mais ne rien faire n’est pas une option, dit l’ancien haut juge de la Cour pénale internationale Christine Van Den Wyngaert (71). « Nous avons laissé Poutine faire ce qu’il voulait pendant des années. En Tchétchénie, en Géorgie, lors de l’annexion de la Crimée et nous n’avons rien fait non plus lorsqu’il s’est rangé du côté d’Assad dans la guerre civile syrienne. Alors oui, il arrive un moment où il faut agir et tracer la ligne.

Christine Van Den Wyngaert.  Sculpture Aurélie Geurts

Christine Van Den Wyngaert.Sculpture Aurélie Geurts



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