« Ne rien faire n’est pas une option. Un redressement est également nécessaire pour le système de santé », déclare Lauterbach.
Source : dpa
L’Allemagne doit non seulement mieux se préparer aux futures pandémies, mais « aussi aux catastrophes majeures et aux éventuels conflits militaires », a déclaré l’homme politique au « Neue Osnabrücker Zeitung » (samedi).
Il s’attend à ce qu’un projet de loi soit présenté cet été.
Pour le ministre de la Santé Karl Lauterbach (SPD), la réforme des hôpitaux est un projet central de son mandat. Mais ces projets suscitent de nombreuses critiques.14/01/2024 | 4:07 minutes
Lauterbach appelle à un « tournant pour la santé »
« Il faut également qu’il y ait un tournant dans le système de santé. D’autant plus qu’en cas d’alliance, l’Allemagne pourrait devenir une plaque tournante pour les soins aux blessés et aux blessés d’autres pays », a déclaré Lauterbach.
Le ministre fédéral de la Santé, Karl Lauterbach, présente aujourd’hui la réforme d’urgence. Au préalable, il visite le centre de contrôle du service médical de garde à Berlin et met l’accent sur l’utilisation efficace des médecins dans les soins ambulatoires et hospitaliers.
16/01/2024 | 1:47 minutes
Des responsabilités claires en cas de crise
Lauterbach a décrit les contours de la loi comme suit :
Les canaux de déclaration et les possibilités de transfert des patients dans toute l’Allemagne doivent également être clairs. Et les réglementations concernant le stockage n’étaient pas suffisantes. « En fin de compte, le déploiement et la répartition du personnel médical doivent être clarifiés en cas de crise. Et tout cela doit être pratiqué. »
Le ministre de la Santé Lauterbach a présenté des réformes visant à alléger le fardeau des soins d’urgence. Un système de contrôle ne doit être utilisé que pour traiter les urgences aux urgences.16/01/2024 | 1:34 minutes
Ministre de la Santé : pas d’alarmisme dans les plans
Le ministre ne voit pas d’alarmisme dans ces projets. « Il serait idiot de dire que nous ne nous préparons pas à un conflit militaire et qu’il n’arrivera pas. Selon la logique, il n’y aurait pas besoin d’une Bundeswehr. Ne rien faire n’est pas une option. »
Source: dpa