L’agriculteur qui se laisse racheter plus rapidement peut attraper plus d’argent

Il s’agit de l’une des trois mesures que la ministre responsable Christianne van der Wal pour la nature et l’azote a annoncées plus tôt et qui guideront le Conseil des ministres vendredi. Elle a également recherché dans quels domaines les besoins sont les plus grands, mais ce qui arrive exactement aux agriculteurs des «zones rouges» n’est pas encore divulgué dans la lettre. Il est clair, cependant, qu’il y aura un délai dans lequel le «volontaire» se termine. Lors d’un débat plus tôt ce mois-ci, la ministre a déjà annoncé qu’avec une incitation par les prix, elle espère bientôt inciter les agriculteurs des zones critiques à s’arrêter. Une « contribution » à la réduction de l’azote est également attendue pour d’autres secteurs. On ne sait toujours pas quelle est sa taille.

Van der Wal veut s’assurer que les précipitations d’azote dans les zones naturelles vulnérables soient rapidement réduites. Le ministre espère aussi ainsi éviter au maximum que les agriculteurs soient contraints à l’arrêt, mais cela n’est pas à exclure, a prévenu le ministre. Les procédures d’expropriation durent en moyenne cinq ans, tandis que dans le cas d’un rachat volontaire, la cessation d’activité est généralement obtenue dans un délai d’un à deux ans.



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