L’agent immobilier n’a pas non plus fait appel : le bâtiment de l’école Bucket a été restitué à la municipalité

L’agent immobilier Henrie Frieling n’a également reçu aucune réponse en appel. La cour d’appel d’Arnhem-Leeuwarden a jugé qu’il devait restituer l’ancienne école De Tondel à Emmerhout à la commune d’Emmen.

La décision a déjà été rendue en janvier, la municipalité l’a annoncé aujourd’hui. Dans une lettre adressée au conseil municipal, le conseiller René van der Weide a déclaré que la demande de Frieling avait été rejetée. « Frieling peut encore se pourvoir en cassation dans un délai de trois mois. Nous continuerons bien entendu à consulter nos avocats à ce sujet », a déclaré l’édile.

La municipalité possède désormais le bâtiment à son nom et en est la propriété légale. Van der Weide. « Comme nous ne connaissons pas les contrats de location existants, nous mènerons une enquête plus approfondie et consulterons les locataires existants au sujet du changement de situation. »

La commune d’Emmen a vendu le bâtiment scolaire De Tondel à la fondation Op Eigen Houtje en 2014 pour un montant symbolique de dix euros. L’idée est née d’une expérience nationale. L’idée était de donner aux habitants un espace pour des activités locales. Les espaces ont été loués à des tiers.

Avec les bénéfices, la fondation pourrait, entre autres, assurer l’entretien du bâtiment lui-même. La municipalité envisageait dans un premier temps de démolir le bâtiment scolaire.

Une partie de l’accord prévoyait que si les fondations s’arrêtaient, le bâtiment reviendrait à la municipalité.

L’Op Eigen Houtje n’a pas réussi à écrire des figures noires au cours de ses quatre années d’existence. Les coûts élevés de l’énergie sont devenus un obstacle pour la fondation, après quoi tous les membres du conseil d’administration ont démissionné en 2018.

Un nouveau conseil d’administration a été créé sous le nom de Pand 88. Mais cela n’a pas duré longtemps non plus. Le bâtiment a été vendu à Frieling, qui a également loué les espaces à diverses parties locales. Cet achat n’aurait jamais dû être conclu, a jugé la municipalité. Après quoi, la procédure a été portée devant le tribunal.



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