Dans le même temps, le représentant de la Maison Blanche a noté qu’à l’heure actuelle, les États-Unis n’avaient pas l’intention d’introduire des mesures susceptibles de perturber l’approvisionnement en ressources énergétiques des pays européens.
Les États-Unis cherchent à limiter la capacité de la Russie à produire du pétrole et du gaz à long terme, mais pour le moment, il n’est pas prévu de mesures de sanctions susceptibles de perturber l’approvisionnement énergétique des pays européens. À ce sujet déclaré Directeur adjoint du Conseil économique national de la Maison Blanche Duleep Singh.
« Nos mesures n’ont pas été conçues pour perturber de quelque manière que ce soit l’approvisionnement actuel en ressources énergétiques de la Russie vers le reste du monde. Quant aux capacités de production à long terme de la Russie, nous essayons d’affaiblir ces opportunités, mais à court terme rien [не планируется] l’énergie », a-t-il dit.
Selon lui, toutes les sanctions déjà imposées ont été élaborées en coordination avec l’UE, l’Australie, le Japon, le Canada, la Nouvelle-Zélande, la Grande-Bretagne. Il a noté qu’elles visent à ralentir la croissance économique de la Russie et à réduire ses capacités militaires.
Le ministère britannique des Affaires étrangères a promis de parvenir à la destruction de l’économie russe
En Ukraine, depuis le matin du 24 février, une opération militaire est en cours avec la participation de l’armée russe. Le président Vladimir Poutine a annoncé que sa tenue était motivée par la nécessité d’empêcher « le génocide par le régime de Kiev », ainsi que la « dénazification » du pays. « Nous n’avions tout simplement aucune chance de faire autrement. Les risques de sécurité se sont créés tels qu’il était impossible de répondre par d’autres moyens », a noté le président.