J’ai souvent voyagé à travers les régions frontalières et maintenant nous sommes à la veille d’une guerre dont je pensais qu’elle n’aurait pas lieu.

Ce fut une sensation quelque peu bizarre la semaine dernière, lorsque, immédiatement après les milliers d’explosions de téléavertisseurs au Liban, plus de 10 000 Israéliens se sont présentés au marché alimentaire annuel sur la plage de Tel Aviv. Musique live, bière et stands des meilleurs restaurants du pays, alors qu’à ce moment-là le risque que le Hezbollah se venge immédiatement ne pouvait être exclu. Il n’y avait pas d’abri, surtout pas pour une telle foule.