Près de la moitié des résidents de nos centres de soins résidentiels prennent des antidépresseurs, selon un rapport du Knowledge Center for Healthcare (KCE). Or, selon les psychiatres, il n’y a aucune raison de supposer que les résidents des maisons de retraite soient plus susceptibles d’être déprimés que le reste de la population. Comment est-ce arrivé? Et quelles sont les conséquences de toutes ces pilules ? « Il est triste de devoir conclure que les médicaments sont l’alternative à l’approche humaine. »
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Grand-mère et grand-père prennent massivement des antidépresseurs : « Ce ne sont pas des bonbons, après tout »
