Gênes revient de deux buts contre Monza mais s’incline devant le but de Maldini


Les 45 premières minutes ont été dominées par les rouges et blancs, avec un but de Pessina et une sensationnelle demi-volée de Dany Mota. Le redémarrage est tout rossoblù, qui le reprend avec Gudmundsson et Vitinha avant le coup de grâce de Daniel

9 mars 2024 (modifié le 10 mars 2024 | 00:36) – GÊNES

La connexion à Monza a échoué. Parce que l’équipe de Palladino (finale 2-3 chez Ferraris) n’en finit jamais et juste au moment où Gênes – révolutionné à la pause après une première mi-temps terne – récupère le double désavantage, l’intuition de l’entraîneur (maintenant à 39) qui jette Daniel Maldini dans le match et donne à l’équipe de Brianza le but final du 2-3. Un match qui est resté en équilibre jusqu’au bout et que les invités pensaient avoir mis en sécurité avec des buts de Pessina et Dany Mota, avant de devoir composer avec le retour de Gênes, marquant avec Gudmundsson et Vitinha. Un retour à mi-chemin.

monologue

Pendant la moitié de la course, un Monza somptueux et maître du peloton. Les rossoblù entrent à la pause avec un visage long après une performance négative dans tous les sens. Parce que Gilardino inverse la position de Sabelli, qui s’écarte vers la gauche et déplace Messias dans le couloir droit en choisissant Frendrup et Strootman comme milieux de terrain, Vogliacco commençant à la place de Vasquez suspendu. Palladino confirme plutôt le 4-2-3-1, mais dans le milieu offensif il préfère Pessina au centre avec le duo Bondo-Akpa Akpro devant la défense (Valentin Carboni absent) et Djuric comme homme le plus avancé. Et dès le premier bond, Monza sortait de l’impasse. Andrea Carboni va au fond et met un ballon intéressant dans le couloir droit pour Colpani, qui dispose d’un champ libre et le dirige devant le but de Pessina. Zuccata vainqueur et objectif de porter le score à 0-1. Monza orchestre une action parfaite, mais la défense locale est surprise. Et surtout, Sabelli ne se rapproche pas de Colpani. Les rossoblù souffrent dans la surface de Martinez, Sabelli, encore une fois, affronte Vogliacco, et du coin suivant l’habituel Colpani trouve Dany Mota libre dans la surface qui dans un demi-coup de tête trouve le corner à droite de Martinez. But fabuleux, Monza à 0-2 et un Gênes abasourdi en ressentent le pincement. L’équipe est effilochée, Monza se glisse à volonté : Birindelli trouve un large couloir sur la droite, De Winter est en retard : le ballon est délicieux, mais il ne trouve aucun coéquipier dans la surface. Monologue de Brianza : Colpani (deux passes décisives), encore une fois, invente une frappe enroulée qui passe au-dessus de la barre transversale à droite de Martinez. Thrill Genoa : équipe en difficulté, jeu trop lourd. Monza contrôle absolument le match, tandis que Gilardino est incapable de remettre de l’ordre dans un milieu de terrain écrasé par l’ampleur de la manœuvre des visiteurs, avec Retegui et Gudmundsson mal servis, fonctionnant à vide. Les Rossoblu sont coincés dans la zone arrière, sans trouver aucune ouverture et seulement à la 42ème minute, une insertion de Vogliacco dans le couloir droit conduit au premier tir de Gênes, mais hors du cadre.

changement de rythme

Un tournant s’impose, puis Gilardino retourne l’équipe. Vogliacco, Strootman et Frendrup sont absents, Spence est large sur la gauche, Vitinha en attaque et Malinovskyi au milieu de terrain gauche. Gênes en effet avec le 4-3-3 et un lourd trident offensif : les effets se voient immédiatement. Monza se ferme, Gênes élève son centre de gravité, retrouve compacité et clarté. Après sept minutes, le match reprend: l’arbitre Feliciani est appelé au moniteur par le variste Marini, qui signale une touche claire de Pablo Marì dans la zone extérieure lors de l’action précédente. Bras large, l’irrégularité est évidente: sur place, Retegui laisse le soin à Gudmundsson, qui voit le tir bloqué par Di Gregorio, mais le remet au rebond. Un-deux et dixième but en championnat pour l’Islandais. Le jeu change et à la 25ème minute Vitinha marque son premier but rossoblù, avec une action solitaire qui surprend Pablo Marì : pied gauche parfait pour revenir dans le coin le plus éloigné et 2-2. Les rôles sont inversés, Monza est sous l’eau, manque de clarté et écrasé dans sa moitié de terrain. Le Genoa est inarrêtable, Retegui défie Di Gregorio (33e), puis décisif sur Badelj, mais Maldini trouve le but à la 34e minute pour porter le score à 2-3 en profitant d’un court rebond de Martinez sur un tir de Valentin Carboni. Monza se prolonge, pour Gênes c’est la deuxième étape consécutive. Mais c’est peut-être encore plus douloureux que celui contre l’Inter.

bientôt un service complet





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