Ethel Cain livre le regard catastrophique et dévastateur de « Punish »


Ethel Cain a été l’une des révélations de 2022 grâce au conceptuel et narratif « Preacher’s Daughter ». C’était un album sur la religion, l’affirmation de soi et le cannibalisme que l’artiste a pu présenter dans le monde entier, en partie soutenu par Florence + the Machine elle-même.

Le nouvel album d’Ethel Cain arrivera le 8 janvier, il recevra le nom prometteur ‘Perverts’ et son premier single, ‘Punish’, peut être écouté dès aujourd’hui. Ethel l’accompagne d’un long texte intitulé «La conséquence du public» que l’on peut lire sur sa page Tumblr.

Ethel avait prévenu que son prochain projet serait composé de compositions longues et denses, et c’est ce que propose notamment ‘Punish’, près de sept minutes de pur doomgaze dévastateur plongé dans l’obscurité la plus profonde. Vous l’aimerez si vous l’aimez Wulvengroupe recommandé par Ethel Cain.

Les premières minutes de ‘Punish’ avancent à un rythme glacial et, s’appuyant sur une combinaison de piano et de voix, déroulent l’atmosphère glaciale et dépressive du morceau. Au bout de quelques minutes, sans prévenir, un océan de guitares électriques inonde l’enregistrement.

La devise de « Punish », qui dit « l’amour m’a puni », est expliquée dans les paroles de la chanson, qui semblent tourner autour d’un « ange chassé du ciel ». La référence de « Punish » à Gary Plauché suggère que « Perverts » poursuivra le récit violent des débuts de Caïn.



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