Demande : 150 heures de travaux d’intérêt général et une peine de prison avec sursis pour avoir agressé des femmes dans une usine

Un homme de 65 ans d’Assen a été condamné à 150 heures de travaux d’intérêt général pour avoir agressé cinq collègues féminines sur le lieu de travail d’une usine de briquets à Assen. Par ailleurs, le ministère public estime que l’homme devrait être condamné à deux mois de prison avec sursis.

L’homme d’Assen a pu faire son travail de janvier 2017 à juillet 2022. À des moments inattendus, il a touché les parties intimes des femmes, comme les seins et les fesses. Lorsque des incidents se sont produits, une conversation a eu lieu avec l’entreprise de formation professionnelle et le responsable du suspect. Le sexagénaire a alors reçu un avertissement, puis un calme momentané s’est installé sur le lieu de travail.

En juillet 2021, l’homme a serré si fort les seins d’une femme qu’elle s’est retrouvée chez le médecin avec des bleus. Une femme manager en avait assez. Elle s’est rendue chez le manager du suspect. Le manager voulait le regarder depuis un moment. Le manager a alors menacé de monter plus haut. En conséquence, le suspect a été licencié.

Le suspect a peu de souvenirs des incidents, a-t-il déclaré. Lors de sa dernière agression brutale, il a perdu connaissance à cause du diabète, a-t-il déclaré au juge. Le procureur a entendu l’homme dire à plusieurs reprises qu’il connaissait les limites. Les actes obscènes étaient à caractère sexuel, a déclaré le procureur. Il a surpris les femmes avec ces touches.

Les femmes souffraient toutes d’une déficience intellectuelle et étaient incapables de faire face à ce comportement. Le suspect souffre également d’une déficience intellectuelle et d’un trouble de la personnalité. Le procureur estime qu’il faut en tenir compte. L’homme d’Assen a déjà été reconnu coupable de délit sexuel dans un passé lointain.

Le tribunal rendra sa décision dans deux semaines.



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