Déclaration du jour | Le ministère public et la police ont raison de tenter de contrôler les utilisateurs des réseaux sociaux dans les affaires de meurtre.

Les réseaux sociaux sont de plus en plus utilisés comme plateforme pour faire la lumière sur des événements terribles.

Cela signifie que la police et la justice se voient confier une tâche supplémentaire dans les affaires de meurtre : contrôler les « chevaliers du clavier ». « Réfléchissez à deux fois aux conséquences possibles du partage de textes et de photos en ligne : une fois pour vous-même et une fois pour l’autre personne », a écrit vendredi le ministère public sur X.

Ce message était destiné aux personnes qui diffusaient de fausses nouvelles sur le meurtre de Jet, 17 ans, à Winsum. « Ces mesures pourraient éventuellement être préjudiciables et conflictuelles pour les proches de la victime et l’entourage du suspect », indique le ministère public.

La veille au soir, la police de Groningue a envoyé un message à un utilisateur X, qui a partagé un message sur le suspect : « Les informations contenues dans le message contiennent des informations incorrectes ».

Qu’en penses-tu? Le ministère public et la police ont-ils raison de vouloir contrôler les utilisateurs des réseaux sociaux ? Ou portent-ils ainsi atteinte à la liberté d’expression ?



ttn-fr-45