Comment le coupeur de la côte de Zandvoort est finalement rentré chez lui pour Noël grâce à une œuvre caritative

Pendant un moment, il a semblé que le cotre échoué sur la côte de Zandvoort ne rentrerait pas chez lui avant Noël et qu’un scénario catastrophe menaçait. Le propriétaire était responsable du remorquage lui-même et il n’avait pas besoin de l’aide de la municipalité et du Rijkswaterstaat. Mais d’innombrables parties prenantes et entreprises n’ont pas permis que cela se produise. Comment, grâce à leur aide et à leurs efforts bénévoles, l’impossible est devenu possible.

Un cotre robuste sur la plage de Zandvoort. Pendant plus de trois semaines, « Black Jack » a dominé le paysage marin de la ville côtière. Le feuilleton du cotre a débuté le 22 novembre lorsqu’il a sombré sur un banc de sable sur la côte, et s’est terminé hier après trois tentatives infructueuses a été arraché. Ce résultat est dû aux innombrables personnes et entreprises qui se sont portées volontaires pour apporter leur aide gratuitement.

Tout le monde sympathise

Ed Reker (61 ans) d’IJmuiden a pêché sans méfiance des crevettes près de la côte le 22 novembre. Après qu’une corde se soit coincée dans l’hélice, le bateau est devenu incontrôlable puis projeté dans un banc de sable par le vent. Reker était assis seul sur le bateau échoué. Selon sa fille, Lisette Reker, son père traversait de nombreuses difficultés.

Des dizaines de personnes ont participé à « l’opération Kotter » au cours des trois dernières semaines. D’abord la Royal Dutch Rescue Company (KNRM), qui a tenté de renflouer le navire à l’aide d’un remorqueur. Il s’est avéré qu’il s’agissait d’un travail monstre. Il n’y avait aucun moyen de libérer le couteau coincé. Au cours de ces efforts effrénés, le remorqueur lui-même s’est également échoué sur le banc de sable. Une situation unique : jamais auparavant deux bateaux n’avaient été bloqués au large de Zandvoort. L’utilisation d’une « grande artillerie » a permis de renflouer le remorqueur quelques heures plus tard. Le coupeur d’IJmuiden ? Il est resté bloqué.

Les vaines tentatives de remorquage n’ont pas dérangé Ed Reker. C’est la raison pour laquelle sa fille Lisette a lancé une campagne de financement. « La pêche aux crevettes est sa source de revenus et de pension. Les réparations seront également bientôt coûteuses. » Il s’est avéré qu’il existait une grande solidarité entre les collègues pêcheurs. Les dons ont été massifs et en quelques jours le compteur avait déjà récolté plus de 64 000 euros. Une chose que, selon Lisette, son père doit principalement à lui-même : « Mon père est l’un des derniers pêcheurs indépendants. Le monde est petit, tout le monde sympathise. »

De nombreuses demandes d’aide

Une semaine plus tard, il devint évident qu’une artillerie plus lourde était nécessaire. Par exemple, de grandes machines (d’excavation) devaient ouvrir la voie au navire. L’autorisation a été obtenue rapidement. Un porte-parole a déclaré : « Bien sûr, tout doit être fait avec soin, mais nous veillons à ce que le capitaine ne se retrouve pas dans un vaste manège de permis. Cet homme doit être aidé. »

Il pensait aussi qu’il fallait aider le témoin Riemer Bronze. Il a suivi de près l’actualité concernant le coupeur et a lancé une campagne de secours auprès de son entreprise. En collaboration avec deux autres sociétés, Brons a fourni du personnel et du matériel dans une ultime tentative de ramener le crevettier échoué à la mer. Le tout entièrement gratuit. Brons : « Je pense que j’aurais pu remplir toute la plage de machines, j’ai reçu tellement d’aide grâce aux inscriptions. »

Mais cette troisième tentative s’est également soldée par une tromperie. Le câble de remorquage s’est cassé deux fois. De plus, un embrayage cassé et une lumière du jour courte ont mis des bâtons dans les roues.

Fin heureuse

Trois semaines plus tard, et plusieurs tentatives plus tard, le cutter était devenu une nouvelle nationale. De l’aide a été offerte de partout. Des dizaines de personnes impliquées ont donné ceci conseils comment renflouer au mieux le bateau. Même dehors Frise un coup de main est venu. Une entreprise de Harlingen spécialisée dans les câbles résistants est venue en aide au skipper Reker. Un gigantesque câble de remorquage solide et ultra léger a été sponsorisé. Le câble a joué un rôle de premier plan hier lors de la scène finale du drame du cutter de Zandvoort.

Hier, après vingt-quatre jours, grâce au câble de remorquage frison et aux efforts de dizaines de bénévoles, nous avons réussi à libérer le cotre du banc de sable. La fille Lisette était en extase : « C’est inimaginable. Incroyable. Des larmes partout. » Le maire de Zandvoort a également répondu depuis la plage et s’est montré heureux. Il a félicité et félicité toutes les personnes impliquées.

Le cotre est maintenant de retour chez lui et est amarré à IJmuiden. Enfin, la famille Reker souhaite remercier tous ceux qui ont aidé, sous quelque forme que ce soit. « Nous avons reçu des messages et du soutien qui nous font chaud au cœur ces trois dernières semaines. Tout le monde a sympathisé et cela nous fait du bien. » Ils remercient en particulier les personnes qui ont travaillé avec altruisme. Car une chose est sûre : sans les efforts inlassables de tous les bénévoles et entreprises, ce coupe-savon n’aurait jamais abouti à un fin heureuse.



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