Les mots ne sont pas facultatifs, ils comptent. Les propos de la ministre de la Coopération au développement Caroline Gennez (Vooruit), selon lesquels les Allemands doivent faire attention à ne pas se retrouver « deux fois » du mauvais côté de l’histoire, semblent avoir été formulés à la tronçonneuse, écrit le chroniqueur Noël Slangen.
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COLONNE. Les mots comptent : toutes les critiques à l’encontre d’Israël ne sont pas de l’antisémitisme, les membres du Hamas ne sont pas des « combattants de la liberté »
