Boris Johnson a rejeté de nouvelles allégations de violations des mesures corona pendant son mandat comme « une intrigue politiquement motivée ». L’ancien Premier ministre britannique a également qualifié les allégations de « bizarres et inacceptables ».
Selon des confidents de l’ancien Premier ministre, les allégations émanent d’employés du gouvernement de gauche. Dans ‘The Telegraph’, un Tory parle d’une « chasse aux sorcières » contre l’aile droite du parti. Johnson, qui a dû démissionner l’été dernier après une série de scandales, avait déjà été condamné à une amende.
Le Times a révélé que le Cabinet Office avait remis de nouvelles pistes et preuves à la police le 9 mai. Il s’agit notamment d’incidents à Checkers, la résidence de campagne des premiers ministres britanniques. Johnson y aurait reçu des amis et de la famille, alors que cela était interdit par les mesures corona.
Effet sur le Premier ministre Sunak ?
Pendant ce temps, une commission parlementaire enquête pour savoir si Johnson a menti au parlement à propos de l’affaire du partygate. La question menace également de nuire au Premier ministre Rishi Sunak, qui était ministre des Finances pendant la période corona. Par exemple, la commission parlementaire veut voir les messages Whatsapp non censurés de Johnson, y compris la correspondance avec Sunak. Downing Street refuse de diffuser les messages pour le moment.
Il est également difficile pour le Premier ministre actuel que Johnson paie sa défense avec l’argent des contribuables. Les honoraires d’avocat s’élèvent déjà à environ 220 000 euros. Il est particulièrement ironique que l’équipe actuelle d’avocats ait découvert les nouvelles violations des mesures corona. Johnson a déjà annoncé qu’il remplacerait son équipe d’avocats.
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