Baladodiffusion | « Si Sem Schilt n’avait pas existé, j’aurais peut-être été cinq fois champion de K1 »

Dans le podcast, divers sujets sont abordés en trois tours et un tour de questions supplémentaire. Le deuxième épisode concerne Mousasi et De Ridder, qui ont défendu leurs titres chez Bellator et One. Bonjasky donne sa vision de leur développement et de leur avenir. Il pense qu’ils peuvent devenir un peu plus vocaux, afin d’être encore plus en vue, par exemple, de l’UFC.

Bonjasky a assisté à la conférence de presse prévue par Luis Tavares et évoque la situation difficile pour le Rotterdamois. Il combattra en principe le 19 mars pour le titre mondial contre le Russe Vakhitov, mais ce parti est en péril en raison de la guerre en Ukraine. Bonjasky a également des conseils pour son pair Melvin Manhoef (45 ans), qui reviendra avec plaisir sur le ring au Bellator en mai. Et la série habituelle de questions porte principalement sur des questions sur la façon dont Bonjasky a vécu sa carrière.

,,L’adversaire le plus coriace que j’ai eu est Sem Schilt’, dit Bonjasky. ,,Je pense vraiment que s’il n’existait pas et n’avait pas participé à des tournois, je n’aurais pas été champion de K1 trois fois, mais peut-être cinq fois. Il était celui que je ne pouvais pas battre, donc je n’ai jamais gagné. Je l’ai affronté trois fois et j’ai été battu à chaque fois. Sem mesure 1,12 mètre, 135 kilos et sait très bien faire du kickboxing. Et pour le reste c’est un gars très sympa, avec qui j’ai de bons contacts.

Remy Bonjasky est également chroniqueur pour ce site. Il discute des dernières nouvelles et des arrière-plans du monde des arts martiaux avec Tim Reedijk toutes les deux semaines dans le podcast In de Ring. Pour le tour de questions, vous pouvez envoyer des questions via l’adresse e-mail [email protected]. Le podcast peut toujours être écouté sur ce site ou via votre plateforme de podcast préférée. Abonnez-vous ici via Apple et ici via Spotify.



ttn-fr-43