Avantages sociaux, des seuils d’exonération aux obligations pour l’employeur : les nouveautés 2024

Travailleurs de retour dans la tranche d’exonération la plus élevéepour bénéficier de l’allègement, ils doivent présenter à l’employeur unauto-certification dans lequel ils attestent avoir un ou plusieurs enfants à charge fiscale et indiquent également leurs codes fiscaux respectifs. Il leur est ensuite demandé de communiquer tout changement de conditions pouvant survenir au cours de l’année.

Le dépassement des seuils, pour l’année 2024 de 1 000,00 euros ou 2 000,00 euros, détermine l’imposabilité totale des valeurs des sommes reconnues ; même conclusion également dans le cas où les conditions pour l’élargissement du seuil à 2.000,00 euros en cas d’enfants à charge devaient cesser.

Clarification des revenus

L’Agence des revenus (circulaire 23/2023) a ensuite précisé que, dans le cas d’un enfant de plus de 21 ans, pour lequel les parents ont convenu que la personne ayant les revenus les plus élevés bénéficiera des déductions fiscales à 100 %, l’autre parent peut également bénéficier de l’allègement tant que l’enfant dépend financièrement des deux.

Ce que l’employeur doit faire

L’employeur est tenu de déclaration au registre unique du travail la valeur correspondante dans la période concernée. Si la somme des valeurs des avantages sociaux reconnus au travailleur ne dépasse pas, sur la période fiscale 2024, les seuils d’affiliation, en fonction des caractéristiques du bénéficiaire, cette valeur est exonérée au niveau fiscal et également contributif, en vertu du principe d’harmonisation des assiettes de sécurité sociale et d’imposition.

Si les seuils sont dépassésprécise encore la Fondation d’études des consultants en travail, l’employeur doit réaliser les opérations ajustement à la fin de la période fiscale.



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