Il ANNONCE peut encore publier un article sur les enregistrements sonores où Peter. On y entend R. de Vries. La cour d’appel d’Amsterdam a statué mercredi. Le fils du journaliste policier Royce de Vries avait porté plainte contre le journal.
Le juge a décidé qu’un article précédemment interdit pouvait toujours être publié sous certaines conditions. Le journal doit s’assurer que certaines informations ne permettent pas de remonter à des individus.
Selon le fils de Peter R. de Vries, la publication du journal mettrait sa sécurité en danger. L’Association du Barreau s’est ensuite jointe au procès. Le tribunal leur a donné raison en première instance. Il ANNONCE fait appel. L’avocat d’AD avait précédemment qualifié l’interdiction de publication imposée par le tribunal de « tentative de museler la presse néerlandaise ».
Lors de sa décision précédente, le tribunal avait qualifié l’interdiction de publication de « cas exceptionnel ». La décision n’a pas été davantage expliquée en raison d’une « interdiction de communication ». Cela signifie que toutes les parties impliquées ne sont pas autorisées à partager quoi que ce soit sur le procès.
« Ce verdict représente une atteinte sans précédent à la liberté de la presse », a-t-il déclaré. ANNONCERennie Rijpma, rédacteur en chef de l’époque. Le syndicat des journalistes NVJ a qualifié cette décision de « mesure majeure ». Il ANNONCE n’en est pas resté là et a déposé un recours urgent auprès de la cour d’appel, afin que l’appel puisse être traité plus rapidement. Le journal a été soutenu en cela par le NVJ.
Début janvier, l’AD a publié un article basé sur des enregistrements sonores que la rédaction affirme avoir reçus de sources. Sur ces enregistrements, on peut entendre que le présentateur et ancien avocat Khalid Kasem admet avoir soudoyé un fonctionnaire. Kasem le nie.
Le journal travaillait sur un article complémentaire basé sur les mêmes enregistrements, après quoi Royce de Vries a décidé d’engager une procédure sommaire. L’avocat a été soutenu en cela par le doyen des avocats d’Amsterdam. Selon le régulateur de la profession juridique, les informations que les avocats reçoivent en leur qualité d’avocat sont confidentielles et l’emportent donc sur les intérêts de la liberté de la presse. Le juge n’est plus d’accord avec cela.