L’OM soupçonne désormais aussi Van Lienden et ses partenaires de blanchiment d’argent

Sywert van Lienden, Bernd Damme et Camille van Gestel, les trois fondateurs de l’Auxiliary Alliance Foundation, sont désormais également soupçonnés de blanchiment d’argent par le ministère public (OM). Des sources rapportent que CNRC et est confirmé par un porte-parole du parquet fonctionnel. Il a été annoncé précédemment que la justice soupçonne le trio de fraude et éclipse

Le ministère public a annoncé en février qu’il avait ouvert une enquête pénale contre, entre autres, les (anciens) directeurs de la Stichting Hulptroepen Alliantie (SHA), dont Van Lienden. La raison de l’enquête était la déclaration que Randstad a déposée fin décembre 2021. L’agence d’intérim a mis du personnel à la disposition de Stichting Hulptroepen Alliantie parce que l’on pensait que c’était à des fins caritatives.

Il est apparu plus tard que Van Lienden et les autres (anciens) administrateurs avaient créé une société privée qui était utilisée pour l’achat et la vente de masques faciaux. En conséquence, lui et les autres fondateurs auraient gagné des millions grâce à l’accord de masque buccal qu’ils ont conclu avec le ministère de la Santé.

Des millions d’euros de dividendes

Selon CNRC la justice soupçonne désormais également le trio de blanchiment d’argent, car les trois (anciens) administrateurs se sont versés des millions d’euros de dividendes de la SHA. Cela ressort du dossier pénal. Selon la justice, un tel acte, dans lequel les trois ont reçu de l’argent qui pourrait avoir résulté d’un crime, équivaut à du blanchiment d’argent. Des sources ayant connaissance du dossier le confirment au journal.

Van Lienden nie dans une réponse à CNRC que le département de la justice a encore élargi les soupçons de blanchiment d’argent le 24 mai.



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