De Tiago Pinto à Souloukou : Rome, combien de managers avec Friedkin


Frictions avec le club ou avec le club, décisions non partagées par les supporters, séances de marché des transferts infructueuses : les raisons sont multiples

Depuis l’arrivée des Friedkins, la Roma est une poudrière. Et la démission de Lina Souloukou, jusqu’à hier PDG du club Giallorossi, ne fait que confirmer : depuis que la famille américaine a acheté la Roma, il n’y a jamais eu de stabilité au niveau de l’entreprise (sans entrer dans des discussions sur le terrain, finalement avec le limogeage de De Rossi). En fait, nombreux sont ceux qui, par leur propre choix et surtout par d’autres, se sont d’abord installés dans la capitale puis ont dit au revoir à la capitale au bout de quatre ans.

combien de noms

L’entraîneur grec n’est que le dernier d’une très longue liste, qui comprend des noms qui aujourd’hui – après avoir quitté le club – accomplissent les mêmes tâches qu’ils avaient également chez les Giallorossi. Comme par exemple Guido Fienga, l’homme qui a en quelque sorte coordonné le passage du club des mains de Pallotta et de celles de la famille Friedkin et qui dirige aujourd’hui Al-Nassr de Cristiano Ronaldo. Ou comme Francesco Calvo, qui a fait ses adieux à la Roma en février 2021 pour s’installer à Turin, du côté de la Juventus, où il travaille en tant que responsable du domaine sportif. Ensuite, il y a eu Tiago Pinto, qui est aujourd’hui directeur sportif de Bournemouth. Ensuite, il y a le PDG Berardi, le directeur des affaires extérieures Scalera, le directeur de l’académie de jeunesse Vergine (maintenant à Milan), l’ancien agent de liaison Morgan De Sanctis, divers directeurs commerciaux (Noris et Wandell), Zubiria, Garcia. Bref, une liste de noms très longue et très variée en termes de rôles et de tâches, à laquelle s’ajoute même le nom de Maurizio Costanzo, qui avait été engagé par Roma comme consultant en communication externe. Le dernier est le PDG. Lina Souloukou : se retrouver sous « mesure de protection » pour avoir approuvé le licenciement de De Rossi, c’était trop.



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