L’absence de cessez-le-feu est la faute des États-Unis, déclare l’ancien négociateur : « Ils refusent d’utiliser leur pouvoir »

HLe mot revient à plusieurs reprises dans son argumentation : ambiguïté. Un accord ambigu, estime Daniel Levy, aurait pu être la clé d’un cessez-le-feu entre Israël et le Hamas. Cela aurait dû entrer en vigueur avant le début du Ramadan, à la fin de ce week-end. Cela pourrait éviter une tragédie à Rafah.



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