Le Venezuela, l’allié le plus proche de la Russie en Amérique latine, lorgne une partie de la Guyane voisine. Pour être précis : un champ pétrolifère nommé d’après Stabroek. Dimanche, le président demandera à son peuple l’autorisation de déplacer la frontière « par tous les moyens nécessaires ». La question de savoir à qui profiterait un tel nouveau conflit inquiète beaucoup les spécialistes.
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