Wolf a peut-être échappé à une clôture bien placée à Vledder

Trois moutons gestants appartenant à l’éleveur de moutons Stefan Worst à Vledder ont probablement été victimes d’un loup la nuit dernière. Un mouton est mort immédiatement et il a dû endormir deux moutons.

Le consultant de BIJ12 qui a pris l’ADN, a vérifié toute la clôture et a constaté qu’elle était correctement placée. BIJ12 n’était pas disponible pour le confirmer. La province de Drenthe indique qu’elle fera également procéder demain à une enquête sur la qualité des clôtures.

Il y a plus de deux semaines, l’éleveur de moutons a également dû faire face à une attaque de loup. Ensuite, le consultant loup de Drenthe a trouvé des défauts dans la clôture. L’éleveur de moutons dit qu’il s’est attaqué à cela. L’attaque d’hier soir était sur un complot différent, soit dit en passant. Dans les deux attaques, la recherche ADN n’a pas encore montré qu’il s’agissait bien d’un loup, mais selon Worst, le type de blessure pointe dans cette direction.

« C’est bien sûr terrible », répond Worst à la nouvelle attaque. « J’ai ramené tous mes moutons maintenant, sauf trois troupeaux. Il y en a environ 160 et je n’avais pas de place pour eux dans la grange. J’ai mis mon matériel agricole à l’extérieur pour faire de la place pour les moutons. « 

Pour tenter de capturer la façon dont le loup procède, Worst a installé des caméras pendant un certain temps l’été dernier, mais l’intrigue est si vaste qu’elle est impraticable. « Une caméra ne peut imager qu’une surface de 30 mètres et cela concerne un terrain de 8 hectares. Ensuite, il me faudrait 60 caméras. Elles coûtent 80 à 300 euros pièce. En plus s’ajoutent les frais des batteries. de les changer chaque semaine », explique Worst.

La qualité d’une clôture anti-loups est importante pour déterminer s’il y a un problème de loup. Et un loup aussi problématique pourrait être abattu. Le Plan interprovincial loup stipule qu’un loup peut être classé comme un loup problématique s’il attaque à plusieurs reprises du bétail qui se trouve derrière une clôture anti-loups bien placée.

Si cela n’est pas enregistré, cela ne tiendra pas devant le tribunal et aucun permis de tournage ne sera délivré. Ce qui complique encore l’identification d’un problème de loup, c’est que le plan loup ne précise pas la fréquence de « répétition ».

Même si le même loup aurait franchi plusieurs fois une clôture résistante aux loups, le tir est encore loin d’être discuté. Car selon le plan loup, il faut d’abord tenter d’ajuster le comportement du loup. Et il doit y avoir un état de conservation favorable, et cela n’a pas encore été atteint aux Pays-Bas.



ttn-fr-41