L’entraîneur de gymnastique Vincent Wevers a été particulièrement soulagé lorsqu’il a appris que la commission de discipline de l’Institut du droit du sport (ISR) l’avait acquitté de comportement transgressif.
« J’ai attendu le résultat avec confiance, mais les deux dernières années et demie n’ont certainement pas été amusantes », a-t-il déclaré dans une déclaration écrite à la NOS.
Depuis 2020, plusieurs anciens gymnastes ont porté plainte contre Wevers pour comportement transgressif. Selon la commission de discipline, il n’a pas été suffisamment établi que l’entraîneur de gymnastique était coupable d’un comportement disciplinaire coupable. La commission constate également que les entretiens et entretiens avec les déclarants et les personnes impliquées sont de qualité insuffisante.
La commission de discipline est d’avis que du dossier et de ce qui a été avancé par le procureur et les témoins à l’audience, une certaine image s’est bien dégagée de certains abus causés par le prévenu. Mais selon le comité de discipline, les allégations contre Wevers n’ont pas été prouvées de manière convaincante.
Wevers est soulagé, mais aussi déçu de la façon dont tout s’est déroulé. « Cela a un grand impact d’être traité comme un condamné sans passer par un procès », a-t-il déclaré. « Nous avons un système (juridique) aux Pays-Bas pour permettre à un organisme indépendant de juger un cas particulier. Cela ne s’est pas produit dans mon cas. Le processus a eu beaucoup d’impact sur moi personnellement, ma famille et mon environnement, comme les gymnastes avec qui j’étais dans la salle tous les jours. Le KNGU ne m’a pas protégé en tant qu’employeur et s’est opposé à moi.
Accès gratuit et illimité à Showbytes ? Qui peut!
Connectez-vous ou créez un compte et ne manquez rien des étoiles.