Au domicile du président du Libéria, un ancien attaquant des Rossoneri : « Je me souviens du retour des Scudetti, si tu crois en un but et que tu as de la qualité alors tu vas l’atteindre. Je voudrais mon fils Timothy en Italie. Et il y a une chose à propos de la finale de la Ligue des champions que je n’ai pas comprise… »

De notre correspondante Alessandra Bocci

c’était Springfield, un aéroport pour vols privés : de là George Weah décollait parfois pour retourner en Europe. Puis ce furent des décombres, des friches, de plus en plus de misère. Maintenant, le gazon synthétique des terrains de football est étendu sur le même terrain, il y a des espaces pour jouer au basket, au volley et au tennis. Il y a une salle de gym pour s’entraîner. Il y a des maisons pour quelqu’un qui n’en avait pas. George Weah regarde fièrement autour de lui. « Ces enfants qu’il voit jouer peuvent étudier et faire du sport. Ils ne pouvaient pas avant. »



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